ATOS : UN PEU DE MATHS

betterday

18 mai 2024 •19:48

Le point d’équilibre pour les créanciers découle très simplement de la valorisation qu’ils ont de la société avant augmentations de capital (évidemment sous réserve de la réalisation de ces augmentations de capital (avec conversions de créances)). 

tutusse2

18 mai 2024 •21:11

3 questions  1 / Les CAC  sont présent ? 2 / LAYANI  et ses experts aussi   ? Qui controle ACCURACY  ?

AmIwrong

19 mai 2024 •07:49

betterday : Bonjour.

Je ne parle pas pas d'un "concept d'équilibre" je calcule un PRIX, celui-ci étant fonction de la "valeur supposée" du bousin et du montant de l'enveloppe de créances à convertir en K.

Il s'agit d'une équation du 1er degré très simple du niveau d'entrée en 6ème.

tutusse2 : Hi.

Je suppose que les commissaires aux comptes auront leur mot à dire, et notamment pour défendre ce Badwill de 2,546 Md qui a anéanti les KP (0,055 Md soit 50 cents l'action).
Mais puisque Mme Bourbouloux a demandé une expertise, on peut supposer qu'elle ne croit pas en cette conclusion.

Si les commissaires aux comptes s'étaient fourvoyés, ils risqueraient de le payer très cher en matière de confiance en leur savoir-faire.

betterday

19 mai 2024 •09:15

Moi aussi je parle du calcul niveau 6eme d’une prime d’émission 

AmIwrong

19 mai 2024 •09:47

betterday : Concernant le niveau d'entrée en 6ème que vous semblez interpréter comme attaque ad personam, relisez calmement mon 1er post :
Je parlais à la cantonade d'une "équation du 1er degré qu'il est facile de développer et simplifier". Et lors de mon second message je rappelais simplement ce constat.

Descendez donc de votre grand cheval, et présentez nous votre calcul de "prime d'émission" dont je doute qu'il concerne le sujet de la file de discussion à savoir le PRIX de conversion !

Pour moi vous sortez du sujet : Incompréhension, tentative de diversion, que sais-je ?....

AmIwrong

19 mai 2024 •11:55

Personnellement, je pense que le prix de conversion pourrait être bien inférieur à ce prix d'équilibre, et 2 arguments plaident en faveur de cette thèse :

1° : S'agissant d'argent immobilisé qui ne rapporte désormais plus rien (sauf improbable dividende), on peut s'attendre à ce que les banquiers négocient à la marge la perte de ces revenus.

2° : La dilution mettra les banques en possession d'une grande quantité de titres qu'il leur sera difficile par la suite d'écouler sur le marché sans en faire dégringoler le cours.
Certes la conversion provoquera mécaniquement un rebond, mais le cours restera en deçà du prix de conversion condamnant de facto les banques à attendre un certain temps avant de pouvoir s'alléger sans trop de dégâts.
Il est probable que les banques mettent en avant cet argument de manière à ce que la barre ne soit pas trop haute à franchir.