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Avons le choix entre la peste et le choléra ? Entre 2 maux , il faut choisir le moindre , toujours pareil lections aussi , le choix du moins pire .
11 avril 2024•09:41
La valeur du fonds de commerce d'Atos est bien supérieure à ce que sa comptabilité présente. Avec un nouveau top management, l'entreprise a une réserve de valeur immense. Il faut gérer et baisser le point mort. Quand on entend le retard pris par rapport aux concurrents vers des pays à moindre coût, on comprend le différentiel de marge avec les pairs. C'est incroyable on est en 2024, pas en 1994. Vous ajoutez à cela l'IA et au passage les réserves de valeur des déficits fiscaux...Franchement celui qui va prendre Atos a un très beau coup à jouer....
11 avril 2024•09:57
Juste que les dirigeants d'Atos peuvent se passer d'une AG pour finaliser ce process. A partir du moment ou la concilliation est validée a l'unanimité des créanciers, une procédure de sauvegarde express est ouverte. Et un juge cristalise l'accord sans demander l'aval des actionnaires.
Les articles 57 et 58 de la loi «« de régulation bancaire et financière » du 22 octobre 2010 créent une nouvelle procédure, la « sauvegarde financière accélérée » et modifient plusieurs dispositions d’ordre financier du droit de la sauvegarde et du redressement judiciaire. La sauvegarde financière accélérée, principale innovation, doit permettre aux entreprises de taille importante et à la majorité de leurs créanciers financiers (établissements de crédit et assimilés, obligataires) de mettre en œuvre une procédure rapide d’adoption d’un plan de sauvegarde, après que celui-ci ait été négocié dans le cadre d’une procédure de conciliation
11 avril 2024•10:18
Sans doute, merci de ces précisions, mais le process décrit hier par le CEO à l'audition devant la commission du sénat prévoit un vote des créanciers et un vote des actionnaires.
11 avril 2024•10:42
les PP vont se faire diluer
les actionnaires d orpea avaient le choix?
vous avez un exemple concret de ce qui va se passer
aux abris citoyens
11 avril 2024•11:05
J hesite a y aller quel sont les risques, les 2 scénarios possibles selon vous ?
11 avril 2024•11:08
Si y'a vote des actionnaires c'est qu'il y a pas unanimité des créanciers et qu'ils peuvent pas passer par la sauvegarde express... Et la on part pour une AK massive Avec apport en numéraire ou dette, et on part plus pour les 2.6 M€, mais pour 4 a 4,5 M€ de nouvelles actions ... Et si l'AK massive passe pas, je vous laisse imaginer ce qu'il reste comme option. Pour moi ca fini en redressement judiciaire cette histoire ...
11 avril 2024•11:12
Atos en revanche en renommée c'est mort, moi je suis pour qu'on appelle ça Onepointos ou At One Point
11 avril 2024•11:13
Donc c mort dans les 2 cas moins pire sur la dilution, surtout si ceal remonte mais au bout de combien de tps ???
11 avril 2024•11:28
Je viens de lire l'article de boursorama sur l'audition au sénat. Je suis vraiment pas sur que les actionnaires aurront le dernier mots.
Dans cet articles, la direction de Atos indique qu'elle placera d'autres actifs de Atos dans la filliale Bull pour que l'état prenne le controle des super calculateurs et de ces actifs en échange du pret de 50 millions.
L'état est entrain donc de prendre ce qui l'interesse pour Atos et sans l'accord des actionnaires pour une paille et avec l'accord de la direction de Atos.
11 avril 2024•11:32
Perso ce que je vois, c'est qu'Atos arrive pas a se mettre d'accord avec ses créanciers. Qu'ils ont besoin de fianancement et que pour le moment ils n'ont que 450 m€ trouvé (50 M€ par l'état avec une prise de participation dans l'entité Bull, 100 M€ de pret, et une augmentation de l'affacturage de 300 M€)
Donc si la consomation de cash reste au niveau des derniers mois, ils seront en situation de cessation de paiement en Septembre (Juste après les jeux)
On va dire qu'ils réussisent a passer le cap, et qu'une AG se déroulle bien, il faut que l'AK Fonctionne. On peut penser que les créanciers qui sont d'accord actuellement vont convertir leur créances en action. Mais il faut que le reste des actions soient aussi vendu pour que l'entreprise puisse lancer son redressement et financer un PSE (Les économies dont ils ont parlés au Senat ...) que perso j'évalue a la louche a 450 a 500 M€ pour la France, et je pense qu'ils continueront a consommer du cash pendant encore 1 an...
11 avril 2024•11:37
Personne surtout pas Layani qui a invest 60 tmillions à 7 € l’action! Keep cool
11 avril 2024•11:41
La vraie question cher Lucio 27 est : Maîtrisez vous le Droit des Affaires ?
Evidement que les actionnaires auront le dernier mot, ce fut d'ailleurs le cas sur Casino et Orpéa. Un fois l'accord signé avec les créanciers, celui-ci est ratifié en AGE par les actionnaires.
Maintenant si votre propos consistait à faire croire que les actionnaires pourront refuser toutes dilutions c'est faux. Les actionnaires que nous sommes auront le droit entre se faire diluer et signer l'accord de l'entreprise ou refuser et entrainait la liquidation de la société.
Lors de l'audition M. Mustier a été très clair en énonçant 3 possibilités :
- "Apport d'argent frais conséquent" par les actionnaires, ce sont précisément ses mots,
- Apport par les créanciers via une émission d'actions nouvelles,
- Conversion de la dette existante en capital,
Dans les trois cas la dilution sera existante et significative, elle pourra légèrement variée d'une solution à une autre, mais elle reste énorme par rapport au cours actuel de 1,7€.
11 avril 2024•12:00
Les AK ne sont qu'une bouée de sauvetage. On sera mort avant de récupérer nos fonds. Y a qu'à voir AFK. Rien ne s'arrange avec cette boîte non plus. L'ak a coulé les pp.
La bourse n'est pas faite pour moi.
11 avril 2024•12:06
Ni pour moi et ce sera la pire erreur de ma vie.
Il n’y a que la corruption qui paye dans ce bas monde 😤
11 avril 2024•12:16
Il faut s'avoir tirer les avantages de ces erreures.
Pour m'a part, j'arrete d'investir dans des entreprises soit disant sous evalué ou avec un rebond possible et privillégie des entreprises polloter par un actionnariat familliale type Bouygues, LVMH, Kering, L oreal ...
Et pour limiter les risques je prend minimum 50 % de mon portefeuille en ETF.
Je constate que les boites commes Atos géré par des pontes de l'éstablisement parisiens finissent systématiquement par des creux ou un retour à la realité après une phase d'euphorie
11 avril 2024•12:20
Contrairement à certains qui amènent leur science ici, j’ai lu le plan de refinancement du CA ainsi que l’audition dans son intégralité :
- Tout d’abord c’est un plan qui est établi pour garder le groupe dans son entièreté, mais si un meilleur plan est proposé avec la vente de certains actif le CA n’est pas contre tant que c’est clairement financé.
- les 600 millions d’argent frais demandés sont pour couvrir l’année 2024 et 2025 , le FCF devenant positif des 2026.
- pour ce qui est des 2.3 milliards de créance à transformer en capital, c’est uniquement si les 600 millions de new money sont fourni via crédit autrement la somme sera bien moindre c’est clairement mentionné dans les slides fournis.
11 avril 2024•12:24
FFA3030 500 M€ pour un PSE ? ça fait bcp , disons 100K€ pour 5000 personnes , vu les salaires et l'ancienneté moyenne , peu de salariés toucheraient autant ...
11 avril 2024•12:28
gump32 @autres
Esso aussi on me disait que c'était perdu que la boîte valait plus rien ils se sont un peu tromper Bon je vous l'accorde c'est pas pareil néanmoins les soc. sous côtés qui ne sont pas endettées jusqu'au cou cela en vaut la peine