ATOS : Thales

gump32

30 avril 2024 •09:10

Comme par hasard alors qu'il repettait à mainte reprise qu'il n'etait pas interessé ces derniers mois.

Nul doute que Thalès à deja contacté Bruno le Maire pour lui dire ce qu'il doit decouper et ce qui les interesse dans Atos. 

Ils vont se servir avec l'aide de l'état qui de toute façon leur passera des contrats. 

Au final ce sera presque une opération neutre pour Thales mais hélas pas pour les actionnaires de Atos a qui on ne demande pas l'avis. 

teemo123

30 avril 2024 •09:13

Thales proposait 2,7 milliards en 2022 pour bds. Il va le recuperer pour 1 milliard en 2024. Merci Meunier 

Rafi66

30 avril 2024 •10:24

En fait THALES veut se servir sur la "bête morte" où en sursis.....S'il pouvait reprendre les actifs à zero il le ferait sans vergogne avec le consentement de l ETAT....

condor45

30 avril 2024 •10:28

Tout ce qu'on peu espérer c'est que Cap rapplique pour l'intégralité par OPE

M4981842

30 avril 2024 •10:29

Mais Talhes n'est pas seul et l'état n'a pas de rond !

D'autres sont aussi à l'affut avec des moyens financiers importants.

Si c'était aussi facile, l'opération aurait déjà été réalisée.

M5191121

30 avril 2024 •10:32

Meunier , avec son  ex ego de Polytechnicien , ne voulait pas se vendre à Thalés et à son Pdg, diplomé aussi de l’X! Résultat: il a ruiné tout son actionnariat. Un simple «  technicien de surface » n’aurait pas été aussi lamentable. A croire que Meunier  , franco-britannique, n’était pas du tout franco ,  bossait pour les anglo-saxons et faisait tout  pour couler Atos!  

gagnix

30 avril 2024 •10:47

Il n'y a qu'une activité chez ATOS qui peut intéresser Thales, c'est ce qui concerne le Rafale. L'avoir confiée à ATOS est d'ailleurs une erreur de la DGA, car la Défense est une activité trop mineure chez ATOS et la société a prouvé qu'elle n'était pas fiable sur le long terme. 

alchris

30 avril 2024 •10:59

La ruine orchestrée d'Atos par BM, ça rappelle ce que voulait faire le PDG de Eurotunnel avant restructuration financière : couler la boite pour repartir à zéro et liquider les frais de construction et les actionnaires.