« Je resterai toujours solidaire de Mireille et je la défendrai coûte que coûte. Alors si tu n'arrêtes pas tes méthodes dégueulasses, c'est à moi que tu auras à faire, et je peux te dire que la guerre va être très rude ! » Dominique Trinquand a beau être à la retraite, l'ancien chef de mission militaire de la délégation française auprès des Nations unies, à New York, a conservé un langage offensif. Mais le très médiatique général, consultant pour BFM TV, n'en est pas moins embarrassé... Le 15 septembre prochain, son épouse, Mireille Trinquand, déjà condamnée par la justice pénale et civile pour des faits d'escroquerie, fera à nouveau face à une échéance judiciaire. Et comme le laisse entendre ce message laissé par l'officier sur la boîte vocale d'une plaignante, elle peut compter sur le soutien sans faille de son conjoint. Un mari qui, ces derniers temps, s'est fait de nombreux ennemis.
Le 15 juillet dernier, le général de brigade (deux étoiles) « conditionnel » ? il avait signé par avance sa lettre de démission en accédant à cette distinction ? accorde une interview au site d'informations en ligne Atlantico. Trinquand y reproche à Pierre de Villiers, le chef d'état-major des armées en froid avec le président pour avoir critiqué la ligne budgétaire, de s'être affranchi de l'autorité politique : « Il va falloir s'habituer à un président qui est un président qui commande, qui dirige. C'est un...
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