
Marama Vahirua : « Encore aujourd’hui, je répète à Émerse Faé qu’il m’a sauvé la vie »
Il est de ces noms dont l’évocation nous transporte sans prévenir au début des années 2000. Encore plus célèbre pour sa célébration de pagayeur que pour ses 71 pions en D1, Marama Vahirua rame désormais sur l’Isère, à la tête de l’équipe réserve du GF38. Une reconversion évidente, nous direz-vous. Eh bien pas tellement. L’ancien attaquant fétiche du FC Nantes a mis de longues années à digérer sa fin de carrière, avant de se lancer un nouveau défi : devenir le premier entraîneur tahitien à exercer en Ligue 1.
Il paraît qu’une des premières choses qui t’ont marqué en France, c’est l’hiver. Alors, comment l’as-tu vécu à Grenoble ? Pas trop rude ?
Très bien. (Rires.) Ça fait plus de 20 ans que je suis venu en France pour la première fois, donc non, il n’y a plus de soucis. J’ai connu un hiver à Nancy, avec -15 degrés. Au contraire, j’adore le paysage montagneux qu’il y a ici. On dit toujours que l’on veut toujours ce qu’on n’a pas. Moi, j’ai grandi à la plage, sable blanc, cocotiers. La montagne enneigée, je n’ai jamais connu. Donc je suis content.…
Propos recueillis par Elliott Bureau pour SOFOOT.com
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