« Des douleurs atroces et une pénétration impossible. » Voici le souvenir que garde Lauriane, 23 ans, de son premier rapport sexuel à l'âge de 19 ans. L'année suivante, alors que les douleurs persistent, elle consulte une gynécologue. Le diagnostic tombe : Lauriane souffre de vaginisme, une pathologie caractérisée par des contractions involontaires du périnée au moment de toute tentative de pénétration, entraînant dans certains cas des douleurs extrêmes.
Le vaginisme n'est pas la seule pathologie qui peut entraîner des douleurs pendant les rapports sexuels : existent également la vulvodynie (les douleurs se situent au niveau de la vulve) et la vestibulodynie dite « provoquée » (les douleurs se déclarent lors d'un contact au niveau du vestibule). Ces pathologies, regroupées sous le terme « dyspareunies », peuvent être « primaires » (elles interviennent dès le début de la vie sexuelle) ou « secondaires » (elles apparaissent après une sexualité sans douleur). Pour les traiter, plusieurs solutions existent. Mais encore faut-il arriver jusqu'au diagnostic et se voir proposer un suivi adapté.
Génération « non non non » : qui sont les asexuels ? Après deux ans d'errance médicale, une gynécologue diagnostique enfin à Lou, 30 ans, une vestibulodynie. Elle lui prescrit « un anesthésiant, une crème anti-sécheresse et un antimycosique ». La gynécologue la prévient, il faut être patiente et appliquer
... Source LePoint.fr
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