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Les différents impôts prélevés sont destinés à financer l’action publique : sécurité sociale, collectivités territoriales et services publics assurés par l’État. Les prélèvements obligatoires — cotisations sociales, taxes et impôts sur le revenu entre autres — représentent une enveloppe annuelle de quelque 1 038 milliards d’euros en France. Comment est réparti l’ensemble des impôts et taxes que nous payons ? À quoi servent nos impôts ?
iStock-Gwengoat
L’impôt sur le revenu ne représente qu’une faible part du total
Tandis qu’une large majorité de contribuables estime que leur impôt sur le revenu représente une part considérable du total des impôts et taxes, la situation est tout autre en y regardant de plus près. Car sur 1 000 euros de prélèvements obligatoires que nous payons, l’impôt sur le revenu représente en réalité 70 euros, soit 7 % seulement. Les principales sources de prélèvements sont par ordre décroissant : les cotisations sociales la TVA la CSG l’impôt sur le revenu l’impôt sur les sociétés la taxe foncière la TIPP la taxe d’habitation les taxes sur le tabac et l’alcool la taxe sur les transactions immobilières la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises l’impôt sur les dons et les successions la taxe sur les salaires la cotisation foncière des entreprises le forfait social la contribution audiovisuelle publique Ainsi, chaque année, les services de l’État collectent près de 1 040 milliards d’euros de prélèvements obligatoires, soit l’équivalent de 45,3 % du PIB. Cette manne financière est destinée à financer les multiples facettes de notre vie quotidienne telles que la sécurité sociale, l’éducation, la défense, la justice, la culture et le patrimoine, la recherche médicale, la transition énergétique et écologique, les aides sociales et les nombreux services publics. Sont également financées les collectivités territoriales ainsi que les administrations publiques.
Les différentes catégories de prélèvements obligatoires
Afin de pouvoir financer les nombreux champs d’action dont il a la responsabilité, l’État perçoit les différents types de prélèvements obligatoires selon 4 catégories distinctes : les facteurs de production : cette catégorie qui regroupe de nombreux prélèvements tels que la cotisation foncière des entreprises, la cotisation sur la valeur ajoutée, les prélèvements sociaux sur la main-d’œuvre représente 45 % du total la fiscalité dite « indirecte » : elle représente 26 % de l’enveloppe totale et est constituée de la TVA, de la TIPP (taxe intérieure sur les produits énergétiques), des taxes sur les transactions immobilières et des taxes sur le tabac et les alcools les prélèvements sur les revenus et les profits : la contribution sociale généralisée (CSG), les prélèvements sociaux, l’impôt sur le revenu de même que l’impôt sur les sociétés composent en grande partie cette catégorie de prélèvements obligatoires. Elle représente 23 % de l’ensemble les impôts indirects sur les ménages, qui regroupent principalement la taxe foncière de même que la taxe d’habitation (pour quelques années encore) et les impôts sur les successions et les donations, constituent la dernière catégorie de prélèvements obligatoires. Pour l’équivalent de 6 % du total.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
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