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Bourse : comment échapper à l’impôt sur les plus-values en toute légalité ?
information fournie par Le Revenu 19/09/2019 à 17:29

Transformer les plus-values boursières en cash sans passer par la case impôt n'est pas chose aisée. (© DR)

Transformer les plus-values boursières en cash sans passer par la case impôt n'est pas chose aisée. (© DR)

La hausse de la Bourse de Paris en 2019 est un motif de satisfaction. Mais elle ne suffira pas à vous enrichir. Encore faut-il limiter la ponction fiscale sur vos gains. La solution tient en trois lettres magiques : PEA, pour plan d’épargne en actions.

L’investisseur particulier qui détient des actions ne peut que se réjouir de la hausse de la Bourse.

Reste le plus difficile : transformer les plus-values boursières en cash sans passer par la case impôt. Et c’est là que le bât blesse.

Les chercheurs ont observé que les Français font souvent les mauvais choix fiscaux. Vous êtres nombreux à payer plein pot. Un comble ! Alors que le Code général des impôts fourmille d’exonérations, abattements, réductions et autres crédits d’impôt dont vous pouvez légalement profiter.

Parlons vrai

Échapper aux contributions sociales (17,2% depuis le 1er janvier 2018) est impossible. Quiconque prétend le contraire vous ment, quelle que soit la solution proposée. La fameuse CSG (9,9%) augmentée de la CRDS (0,5%), du prélèvement social (4,5%), de la contribution additionnelle (0,3%) et du prélèvement de solidarité (2%) s’appliquent à tous les revenus des placements au sens large : revenus fonciers, dividendes, intérêts, coupons, plus-values, etc.

Seuls les livrets défiscalisés (Livret A, LDDS, LEP, Livret Jeune) en sont exonérés.

Dès lors la question est simple : comment limiter à 17,2% les prélèvements sur vos gains en Bourse ?

Dans un compte-titre ordinaire, la plus-value nette sur la vente de titres (après imputation des pertes de l’année et d’éventuels reports des années

1 commentaire

  • 19 septembre 17:45

    Et la csg dans 8 ans elle sera à combien ? L'Etat français impécunieux est le spécialiste des coups de canif dans les contrats.


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