
L’ancienne capitale des Gaules est l'une des villes les plus chères de France. (© M. Simon)
Avant la crise, les prix immobiliers à Lyon étaient fortement orientés à la hausse. Analyse du marché lyonnais, quartier par quartier et exemples de transactions à l'appui.
Avant la crise, les prix immobiliers augmentaient de 10,8% sur un an et de 41% sur cinq ans, selon MeilleursAgents faisant de Lyon l'une des villes les plus chères du pays (loin derrière Paris).
Dans les prochains mois, la dynamique du marché lyonnais ne devrait pas reculer violemment, en volume tout du moins.
«La métropole lyonnaise accueille chaque année 15.000 nouveaux arrivants, dont 6.000 à Lyon, explique Nicolas Bouscasse, président de la FNAIM Rhône. En 2030, nous aurons 150.000 nouveaux habitants et il deviendra compliquer de se loger.» Quant à la progression de la cote, il faut attendre pour voir.
La Presqu’île est une valeur sûreDans le centre de la Presqu’île, la hausse des prix atteignait 10% en un an il y a encore quelques semaines.
«Sur notre secteur, en 2018, pour une surface de 69 mètres carrés le prix du mètre carré se situait à 4.773 euros. En 2019, pour un bien de 60 mètres carrés, le prix moyen était de 5.276 euros», constate Bruno Gattet, président de Century 21 Presqu’île Immobilier.
Aujourd’hui, les prix immobiliers sont tels pour les grandes surfaces que pour des budgets de 900.000 à 1.000.000 euros (hors rénovation), les familles préfèrent acheter une maison avec jardin en proche banlieue.
Ces grands appartements sont achetés et découpés en petites surfaces louées 20 euros le mètre carré en moyenne. Dans le
5 commentaires
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer