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information fournie par Boursorama avec LabSense•05/02/2021 à 08:30
Mi-janvier, l’entreprise EY a publié son baromètre 2020 du capital-risque en France. Malgré une année pour le moins difficile, les start-ups de la French Tech enregistrent des levées de fonds aux montants records.
La French Tech lève 5,4 milliards d'euros en 2020 - iStock-peshkov
Des montants plus importants
La French Tech plie mais ne rompt pas. C’est 5,4 milliards d’euros qui ont été levés par les start-ups en 2020, soit une augmentation annuelle de 7 % en valeur par rapport à l’année 2019. Le baromètre de EY note par ailleurs une baisse de 16 % en volume. En observant les résultats par semestre, on note un affaiblissement annuel de 3 % sur les six premiers mois, qui levaient 2,70 milliards d’euros à travers 360 opérations. Puis, au deuxième semestre, on observe une hausse annuelle de 20 %. Sur la période, 260 opérations ont permis de récolter 2,69 milliards de dollars. Si 2020 enregistre moins d’opérations que l’année précédente, avec 620 levées contre 736 en 2019, les montants sont plus élevés. Ainsi, vingt-et-un tours chiffraient à plus de 50 millions d’euros, contre seize en 2019, précise Franck Sebag au Parisien. Le total de ces opérations s’élève ainsi à 2,4 milliards d’euros. Cette tendance a contribué à faire grimper le montant du tour moyen, passant de 6,9 milliards d’euros en 2019 à 8,7 milliards en 2020. L’année enregistre également neuf tours supérieurs à 100 millions d’euros, pour un total récolté de 1,68 milliards d’euros. Une performance qui serait, selon Cédric O, Secrétaire d'État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, le résultat du soutien du gouvernement. Dans un communiqué, il évoque les mesures introduites depuis 2017 et le soutien apporté aux start-ups pendant cette année de crise.
L’année du numérique
Le baromètre EY note que le secteur des logiciels et des services informatiques est celui qui enregistre le plus grand nombre d’opérations en 2020, avec 140 levées de fonds pour un total de 1,42 milliards d’euros récoltés. Ce domaine accumulait 1,54 milliards d’euros en 2019. En deuxième position du classement, les services internet, qui lèvent 1,4 milliards d’euros, contre 1,10 milliards en 2019, en 128 opérations. Ce sont les sciences du vivant qui ferment le podium, enregistrant 106 opérations et un total de 851 millions d'euros récoltés, contre 811 millions en 2019. Les fintech, qui englobent les technologies au service de la finance, profitent quant à elles d’une augmentation annuelle de 57 %, atteignant 622 millions d’euros collectés à travers 52 opérations, contre 397 millions d’euros en 2019. Les technologies propres comptent de leur côté 49 opérations et 602 millions d’euros récoltés en 2020.
Le Royaume-Uni en tête
Sur le continent européen, ces résultats installent la France en deuxième position derrière le Royaume-Uni et ses 12,7 milliards d’euros de levées de fonds en 136 opérations. En troisième position, l’Allemagne, qui termine l’année avec 372 opérations et 5,2 milliards d’euros récoltés. Précisons que ces chiffres ne prennent pas en compte les opérations de CureVac, la société étant entrée en bourse en 2020. Dans le pays, c’est l’Ile-de-France qui attire le plus d’opérations, avec 75 % du total levé et 57 % des opérations réalisées en 2020. La région Auvergne-Rhône-Alpes engrange quant à elle 8 % des investissements en valeur et 13 % en nombre. La troisième région de l’Hexagone qui se distingue, les Hauts-de-France, rassemble 4 % des investissements en valeur et en nombre.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
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