Vous êtes authentifié. Nous chargeons votre espace membre.
Message d'information
Message d'alerte
Pour des raisons de sécurité et pour continuer à accéder à votre espace membre, nous vous remercions de bien vouloir valider votre compte membre en cliquant sur le lien suivant :
Je valide mon compte membre
Vous allez recevoir un email à l'adresse indiquée lorsque vous aviez créé votre compte.
Cliquez ensuite sur le lien présent dans le mail. Vous pourrez alors de nouveau accéder à votre compte membre.
Si vous n'avez pas reçu cet email,
contactez-nous
Message d'erreur
Message de confirmation
Un email de confirmation vient de vous être adressé.
Focus sur le « blâme » public. Depuis le mois de mars, la liste nominative des entreprises de plus de 1 000 salariés avec un faible score à l’index égalité professionnelle femmes-hommes est disponible sur le site du ministère du Travail. Un moyen pour le gouvernement d’identifier publiquement les entreprises égalitaires et les mauvais élèves et de les contraindre à modifier leurs pratiques.
iStock-DNY59
Le phénomène du « name and shame »
Le « name and shame » est une action qui consiste à « déclarer publiquement qu’une personne, un groupe ou une entreprise agit de manière fautive ». À l’échelle d’un pays ou à l’international, cette pratique est notamment utilisée pour dénoncer les atteintes aux droits de l’Homme. En France, le ministère du Travail a publié en mars la liste des grandes entreprises avec leur index égalité femmes-hommes, créé par la loi Avenir professionnel. L’objectif de cette pratique est d’inciter les entreprises fautives à prendre conscience des mesures nécessaires au développement de l’égalité homme-femme. La liste permet de distinguer les bons élèves et pointer du doigt les entreprises en faute, c’est-à-dire celles dont le score de 2019 est égal ou inférieur à 75 sur 100. Ces dernières, averties avant la publication, avaient un an pour rectifier le tir au risque de se voir nommées et blâmées sur la place publique. Des entreprises comme Renault Retail Group y sont parvenues. La filiale de distribution automobile affichait l’an dernier un score peu glorieux de 51 et est désormais remontée à 81. Globalement, deux entreprises sur trois avaient rectifié leurs situations quelques jours avant la date limite.
44 entreprises montrées du doigt
Le site travail.gouv.fr distingue 44 entreprises de plus de 1 000 salariés affichant un score inférieur ou égal à 75. Ces entreprises ont alors pour obligation de mettre en place des mesures correctrices au risque de se voir infliger une amende pouvant aller jusqu’à 1 % de leur masse salariale. Parmi les entreprises citées, on retrouve des institutions bancaires, comme le CIC (avec un score de 71), des enseignes comme Go Sport (74) ou encore des entreprises de BTP comme Lafarge Holcim Granulat et Bouygues TP (75 pour chacune des deux entreprises).
Un outil de pression abondamment utilisé par le gouvernement
Le « name and shame » n’est pas une nouveauté en France. La pratique a déjà été utilisée par Emmanuel Macron lorsqu’il était au ministère de l’Économie. En novembre 2015, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes avait mis en ligne une liste de 5 entreprises qui ne respectaient pas les délais de paiement. Dans la même veine, le gouvernement a publié début février les résultats d’une vague de testings sur 40 entreprises issues du SBF 120 sur les discriminations à l’adresse et à l’origine. L’étude a permis de confirmer l’existence d’une discrimination à l’origine au moment du recrutement, distinguant 7 entreprises délinquantes, dont Accor Hotel, Air France ou encore Renault. Les entreprises ont alors répliqué par voie de communiqué, soulignant les « faiblesses de la méthodologie utilisée ». Elles ont cependant répondu favorablement à l’invitation du gouvernement à participer aux discussions relatives à l’établissement d’un nouveau cahier des charges en vue d’une seconde vague de testing.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
les boites de streap tease vont être obligées de recruter majoritairement des hommes, même chose dans les centres de massage chinois. Et que dire des sages femmes ?
information fournie par BoursoBank•21.04.2025•12:00•
Dès 2026, un nouvel style se profile pour les billets de 5, 10, 20, 50, 100 et 200 euros. Quelles sont les raisons de ce relooking et quels vont être les motifs et univers choisis ? Enfin, que vont devenir les anciens spécimens encore en bon état ? Voici un retour ...
Lire la suite
information fournie par Boursorama avec LabSense•27.04.2025•08:30•
Si vous avez besoin de passer une commande en ligne, soyez vigilant. Mentions légales, CGV… Voici nos conseils. Faites une recherche en ligne La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) conseille de faire ...
Lire la suite
information fournie par Le Particulier•26.04.2025•09:00•
Sommaire: La situation de Louis, propriétaire immobilier et percepteur d’un héritage Rembourser un crédit immobilier avant son terme: combien ça coûte? Comment éviter de payer des indemnités en cas de remboursement anticipé? Remboursement anticipé: combien Louis ...
Lire la suite
information fournie par Boursorama avec LabSense•26.04.2025•08:30•
S’il peut parfois être assimilé à une « facilité de caisse » et nous aider à sortir d’une situation provisoirement tendue, le découvert bancaire n’est vertueux qu’assorti d’un usage occasionnel ! Être trop souvent, ou trop longtemps « dans le rouge » est en effet ...
Lire la suite
6 commentaires
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer