
Les termes utilisés par l'assurance vie sont souvent peu compréhensibles pour les néophytes. (DR)
Le nom «assurance vie» est en lui même un faux ami. Un péché originel qui induit un jargon difficilement compréhensible pour les non initiés. Rachat, primes, fonds en euros, cantonnement, garantie plancher, PPB, effet cliquet, clause bénéficiaire : Le Revenu vous explique tous les termes plus ou moins barbares de l'assurance vie.
L'assurance vie, tout le monde connaît. Avec ses 1.700 milliards d'encours c'est même le placement préféré des Français, après l'immobilier.
Pourtant, ce produit d'épargne très populaire ne fait pas vraiment d'effort pour être facile à comprendre par le commun des mortels. C'est même tout le contraire. Pas besoin d'entrer dans le détail de sa fiscalité ou même dans le méandre de ses frais. Le néophyte sera perdu dès l'énoncé des premières caractéristiques du contrat.
Une vraie-fausse assuranceEn fait cela commence avec le nom du support : assurance vie.
Comment ne pas confondre avec une assurance décès ? Les deux produits n'ont pourtant, en pratique, rien à voir. Le premier est un produit d'épargne comportant des avantages fiscaux notamment en cas de décès. Le second est une assurance classique : un capital est versé en cas de survenu de l'accident couvert, l'investissement est à fonds perdus en cas de vie.
En réalité, l’assurance vie est bien une assurance. Mais son objet a été complètement détourné pour en faire un produit d'épargne profitant d'avantages initialement réservés à l'assurance.
C'est d'ailleurs à cause de cette nature assurantielle que le jargon de l'assurance vie est aussi peu intuitif.
Rachats pour ventes, primes pour versementsAinsi lorsque vous placez de l'argent sur un contrat vie, il ne sera pas question de versements
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