Ils sont afghans, tchétchènes, ouïghours et même français : des combattants étrangers ont participé à l'offensive du groupe Hayat Tahrir al-Cham (HTC) qui a fait chuter le régime syrien, le 8 décembre. Ils seraient encore quelques milliers en Syrie, et beaucoup d’entre eux continuent de faire valoir une idéologie jihadiste, malgré les engagements à la modération de HTC. Leur rhétorique anti-chiite violente rappelle celle des réseaux les plus extrémistes, avec qui ils sont toujours liés.