Malgré l'accord de Paris de 2015, les grands groupes d'énergies fossiles trouvent encore beaucoup de financements pour leurs nouveaux projets pétroliers et gaziers. De l'argent qui provient souvent d'obligations émises par ces groupes et organisées avec le concours des grandes banques mondiales et en particuliers des grandes banques françaises. C'est ce que révèle l'enquête "Fossil finance" d'une dizaine de médias, dont Le Monde et The Guardian.