Depuis des générations, la ville de Togliatti, située au sud-est de Moscou, vit au rythme de l’usine automobile du russe AvtoVAZ, détenu à 68 % par Renault. Mais avec la guerre en Ukraine, les sanctions internationales et le départ annoncé du constructeur français qui accentuent les pénuries de composants, les travailleurs s’inquiètent pour leur avenir.