
L’occupation plus fréquente des résidences secondaires a été sensible depuis le premier confinement du printemps 2020 et les autres périodes de restrictions de circulation. Les achats de résidences secondaires ont progressé depuis un an. (© Adobestock)
La crise sanitaire a changé les modes de vie au quotidien. La pratique de la résidence secondaire a évolué, avec ses atouts et ses risques. Nos conseils.
La crise du Covid-19 a bousculé les pratiques de travail et les habitudes de vie. Après l’expérience des confinements et du couvre-feu, certains ont choisi de quitter le centre des grandes villes pour aller en périphérie.
D’autres ont acheté une résidence secondaire, ou rénové un bien déjà acquis, pour y passer plus de temps et télétravailler quelques jours par semaine, voire toute la semaine.
Une tendance en réaction à la criseLa prolongation de la crise sanitaire et l’essor du télétravail ont ainsi conduit de nombreux foyers à remettre en question leur mode de vie au quotidien. La résidence secondaire a fait son retour en force, dans la perspective d’une utilisation qui ne se limite plus aux seules vacances.
La notion de «résidence semi-principale» a pu dès lors devenir une réalité pour ceux qui peuvent y accéder. C’est un lieu de vie secondaire, éloigné du tumulte urbain, qui permet de travailler à distance, mais dans lequel on s’installe désormais plusieurs jours par semaine, voire plusieurs mois par an.
Une étude réalisée par le groupe De particulier à particulier (PAP), en mai dernier, indiquait que près d’un tiers des candidats acquéreurs d’une résidence secondaire, dans le panel interrogé, prévoyaient d’en faire un usage intensif, en y passant plusieurs jours par semaine, en plus des
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