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LDC vise un résultat opérationnel 2023/2024 supérieur à 350 millions d'euros
information fournie par AOF 22/11/2023 à 18:07

(AOF) - LDC a dévoilé de solides résultats au premier semestre 2023-2024 clos fin août 2023. Son Ebitda ressort à 290,7 millions d'euros contre 240,1 millions d'euros il y a un an à la même période, soit une progression de 21%. Son résultat opérationnel s'établit sur ce semestre à 193,4 millions d'euros contre 120,9 millions d'euros au premier semestre 2022/2023. Il représente 6,4% du chiffre d'affaires contre 4,4% au premier semestre de l'exercice précédent. Sur cette période, son résultat net part du groupe s'élève à 153,2 millions d'euros contre 93,9 millions un an auparavant.

Déjà publiées, les ventes du spécialiste de la volaille et du traiteur s'élève à 3,02 milliards d'euros sur ce premier semestre contre 2,73 milliards d'euros, un an plus tôt.

Coté perspectives, pour l'exercice 2023/2024, LDC révise à la hausse son objectif initial de résultat opérationnel courant, désormais attendu supérieur à 350 millions d'euros comparé aux 300 millions d'euros réalisés sur l'exercice 2022/2023.

Le groupe confirme que le chiffre d'affaires 2023/2024 devrait dépasser les 6 milliards d'euros, conformément à l'objectif fixé.

Au-delà de l'exercice en cours, LDC confirme l'ensemble des objectifs fixés dans le cadre de son plan stratégique à 5 ans: franchir le cap des 7 milliards d'euros de chiffre d'affaires sur l'exercice 2026-2027. L'objectif d'EBITDA fixé à près de 560 millions d'euros d'EBITDA sur l'exercice 2026-2027 est également confirmé.

AOF - EN SAVOIR PLUS

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Des prix de l'énergie qui flambent et un appel à l'aide

Dans le passé, l'énergie représentait un coût fixe de 3% du chiffre d'affaires. Cette année, ce pourcentage grimpe à 5% voire à 7% pour les TPE-PME, selon l'Ania (Association nationale des industries alimentaires. Les professionnels sont très inquiets car jusqu'à fin 2022 ils bénéficient généralement de couvertures pour amortir ces augmentations. Or elles ne sont pas reconduites pour 2023 et après. Par conséquent, 25 des principales organisations interprofessionnelles (Intercéréales, Inaporc, Semae, etc.) appellent l'Etat au secours face à l'érosion de leurs marges et de leur capacité d'investissement.

L'Etat a proposé plusieurs dispositifs, dont un " amortisseur électricité ", qui sont jugés insuffisants. Les organisations déplorent également l'échec des négociations européennes pour aboutir à un bouclier tarifaire permettant d'éviter les distorsions de concurrence. L'agriculture et l'agroalimentaire demandent un prix plafond maximum à 180 €/MWh alors que de nombreuses entreprises achètent à des prix supérieurs à 500€/MWh sur le marché français.

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