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Le gaz d'alimentation du GNL américain tarde à revenir après le gel de l'Arctique, problèmes à Freeport LNG
information fournie par Reuters 24/01/2024 à 17:46

((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))

(Ajout d'un commentaire de Cheniere) par Scott DiSavino

La quantité de gaz naturel acheminée vers les sept grandes usines américaines d'exportation de gaz naturel liquéfié (LNG) a chuté d'environ 6 % jusqu'à présent en janvier par rapport au niveau record atteint en décembre, principalement en raison de la lenteur du retour du gaz d'alimentation après le gel de l'Arctique de la semaine dernière.

Les analystes de l'énergie ont également souligné les problèmes récents de l'usine d'exportation de Freeport LNG au Texas, où deux des trois trains de liquéfaction ont été arrêtés au moins trois fois depuis le début de l'année.

Le train 2 de Freeport s'est arrêté le 16 janvier, puis le 22 janvier, tandis que le train 3 s'est arrêté le 17 janvier, selon les documents déposés par la société auprès des autorités de régulation environnementale du Texas.

Les responsables de Freeport n'ont fait aucun autre commentaire que les documents déposés auprès des autorités de régulation de l'État.

Par ailleurs, le troisième train de liquéfaction de l'usine d'exportation de GNL de Cheniere Energy LNG.A Corpus Christi au Texas s'est déclenché le 22 janvier mais n'a pas entraîné l'arrêt de l'unité, selon les responsables de l'entreprise et les documents déposés auprès des autorités de régulation de l'État.

La quantité de gaz acheminée vers les usines d'exportation américaines est tombée à une moyenne de 13,8 milliards de pieds cubes par jour (bcfd) jusqu'à présent en janvier, en baisse par rapport au record mensuel de 14,7 bcfd en décembre, selon les données de la société financière LSEG.

Sur une base quotidienne, le gaz d'alimentation du GNL était en passe d'augmenter d'environ 4,4 bcfd du 17 au 24 janvier pour atteindre un chiffre préliminaire de 13,6 bcfd mercredi, ce qui n'est pas suffisant pour remplacer la chute de 5,8 bcfd du gaz d'alimentation du 13 au 16 janvier pour atteindre le niveau le plus bas en un an de 9,2 bcfd le 16 janvier pendant le gel arctique de la semaine dernière .

Chacun des trois trains de Freeport peut transformer environ 0,7 milliard de pieds cubes de gaz en GNL, tandis que chacun des trois trains de Corpus peut transformer environ 0,8 milliard de pieds cubes de gaz en GNL.

Un milliard de pieds cubes de gaz suffit à alimenter environ 5 millions de foyers américains pendant une journée.

Les États-Unis sont devenus le premier fournisseur mondial de GNL en 2023, devant les récents leaders que sont l'Australie et le Qatar, car les prix mondiaux beaucoup plus élevés ont alimenté la demande pour davantage d'exportations, en partie à cause des perturbations de l'approvisionnement et des sanctions liées à la guerre en Ukraine menée par la Russie.

Le gaz américain au point de référence Henry Hub NGc1 en Louisiane se négociait autour de 3 dollars par million d'unités thermiques britanniques (mmBtu). NGA/

Ce chiffre est à comparer à un plus bas de près de cinq mois de 9 $ par mmBtu au Dutch Title Transfer Facility (TTF) en Europe

TRNLTTFMc1 et à un plus bas de sept mois de 9 $ au Japan Korea Marker (JKM) en Asie JKMc1 . NG/EU

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