((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto)) par Paul Sandle
La Grande-Bretagne pourrait gagner 400 milliards de livres (533 milliards de dollars) grâce à la croissance induite par l'IA si elle formait sa main-d'œuvre, a déclaré Google, après qu'un projet pilote au Royaume-Uni a montré que les travailleurs pouvaient économiser plus de 120 heures par an en utilisant l'IA pour des tâches administratives.
Des mesures simples, telles que l'autorisation donnée aux travailleurs d'utiliser l'IA et quelques heures de formation pour les initier, pourraient contribuer à doubler l'adoption de la nouvelle technologie et, partant, à stimuler la croissance économique, a déclaré Google dans un rapport sur son projet pilote, publié vendredi.
Le géant américain de la technologie, qui a développé le chatbot Gemini AI, a déclaré que, d'après l'analyse de Public First, son partenaire dans le projet, deux tiers des travailleurs - en particulier les femmes plus âgées issues de milieux socio-économiques défavorisés - n'avaient jamais utilisé l'IA générative au travail.
Debbie Weinstein, présidente de Google pour l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique, a déclaré que les projets pilotes d'AI Works - menés dans un réseau de petites entreprises, dans des établissements d'enseignement et dans un syndicat - ont montré que les travailleurs pouvaient économiser en moyenne 122 heures par an en utilisant l'IA pour des tâches administratives.
Mais l'un des obstacles qui empêchent certains de se jeter à l'eau est la crainte que l'utilisation de l'IA dans leur travail ne soit ni légitime ni juste.
les gens voulaient la "permission d'inciter"", a déclaré M. Weinstein lors d'une interview. "Est-ce que je peux faire cela? Il était donc très important de les rassurer."
Une fois qu'ils ont commencé, quelques heures de formation à l'IA pour renforcer leur confiance leur ont permis d'utiliser la technologie deux fois plus, a-t-elle ajouté, et ils l'utilisaient encore plusieurs mois plus tard.
Ces interventions simples ont contribué à réduire l'écart d'adoption de l'IA parmi les participants aux études pilotes, indique Google dans son rapport AI Works.
Avant la formation, par exemple, seulement 17 % des femmes âgées de plus de 55 ans des cohortes utilisaient l'IA chaque semaine et seulement 9 % chaque jour.
Trois mois plus tard, 56 % d'entre elles l'utilisaient chaque semaine et 29 % en avaient fait une habitude quotidienne.
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