CARMAT : Dès demain et pour toujours

Systole

06 déc. 2024 •12:49

Alors pourraient penser certains mauvais esprits que c’était bien « tout ça pour ça » que l’Etude Eficas prévoyait, après un cœur Carmat, une transplantation cardiaque… dans les six mois ?

Après, vaille que vaille, on ne sera « pas responsable » ! Et encore moins « coupable »…Et que bientôt, la doctrine de la perte de chance aura heureusement encore affiné ses contours juridiques.

La question pour 2025 devient en effet ; et c’est heureux : « Est-ce que dès maintenant, ou…très bientôt, mieux vaut entrer directement dans l’ère d‘un « AESON longue durée » que dans l’ère, de plus en plus rare et d’intranquillité, que se trouverait la greffe cardiaque ?

La plus longue survie, sauf erreur, actuellement connue avec un Aeson est de 25 mois ; lequel aura été arrêté pour cancer généralisé à la demande de la famille ; et dont l’expertise post-mortem aura démontré qu’il était en parfait été de fonctionnement. Y -t-il d’autres survies, plus longues : l’entreprise, pour se conformer aux bonnes pratiques cliniques », ne communique pas sur les essais en cours…

Vital pourtant, comme la dissuasion nucléaire dont on reparle soudain, alors aussi le cœur artificiel total, bioprothétique, autonome, hémocompatible, pilotable, et…renouvelable Carmat ?

Dans le monde entier, alors penserez-vous ? Dès demain…irremplaçable…