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ATOS : Atos : Trois mois après la restructuration, où en est le redressement ?

19 avr. 2025 09:20

Synthèse

38 réponses

  • 19 avril 2025 09:26

    Atos : Trois mois après la restructuration, où en est le redressement ?


    📌 1. Restructuration financière Atos a engagé une restructuration pour stabiliser sa situation financière, réduire son endettement et recentrer ses activités sur des segments stratégiques à forte valeur ajoutée. Cette transformation vise à améliorer la rentabilité du groupe et sa compétitivité à long terme.


    📌 2. Évolution du chiffre d’affaires Le chiffre d’affaires a baissé de 16% au premier trimestre 2025, conséquence directe des pertes de contrats enregistrées en 2024 avant la restructuration. À cela s’ajoute la réduction volontaire des activités BPO au Royaume-Uni et un ralentissement du marché dans certaines zones. Cependant, Atos a aussi signé 1,7 milliard d’euros de nouvelles commandes au T1 2025, ce qui montre un potentiel de reprise.


    📌 3. Réduction massive des effectifs En deux ans, Atos a supprimé un tiers de ses postes, passant de plus de 110 000 employés à 74 074. Une grande partie des effectifs a été transférée vers des pays à bas coûts, notamment l’Inde, où plus de la moitié des employés sont désormais basés. De plus, depuis le 31 décembre 2024, la réduction des effectifs a été de 5,2%, principalement en raison des départs liés au plan de restructuration.

    📌 4. Trésorerie et liquidité La consommation de trésorerie a été limitée à -40 millions d’euros au premier trimestre 2025, contre -415 millions d’euros au T1 2024. La position de liquidité est estimée à 1,96 milliard d’euros à fin mars 2025, contre 2,18 milliards d’euros à fin décembre 2024. Atos dispose de 1,52 milliard d’euros de trésorerie et équivalents, ainsi que 440 millions d’euros de facilité de crédit renouvelable non tirée.

    Cette trésorerie est suffisante pour mener à bien la restructuration en cours et il n’y a aucune raison de procéder à une augmentation de capital (AK), contrairement à ce que certains suggèrent. La gestion prudente des liquidités permet au groupe de traverser cette période stratégique sans avoir à recourir à une dilution des actionnaires.


    📌 5. Impact des messages alarmistes sur les algorithmes La répétition excessive de discours pessimistes sur les forums et réseaux peut influencer les algorithmes boursiers, amplifiant artificiellement la pression sur le titre et contribuant à une perception négative du marché.

    📌 6. Regroupement des actions jeudi prochain Le regroupement des actions prévu jeudi pourrait être exploité pour intensifier la pression négative. Cependant, il s’agit d’une opération technique qui ne change pas la valeur totale des actions détenues par les investisseurs.

    📌 7. Le rôle de Philippe Salle Philippe Salle, nommé PDG d’Atos le 1er février 2025, s’est donné deux ans pour redresser l’entreprise et lui redonner sa place de fleuron du numérique.

    Il pilote les finances au plus serré, vérifiant chaque soir les positions de tous les comptes bancaires du groupe.

    Il vit Atos 7 jours sur 7, consacrant tout son temps à la transformation du groupe.

    Son projet attire les talents, notamment des experts de Thalès et d’anciens cadres d’Atos revenus pour participer à la relance.

    Il dévoilera les grandes lignes de son plan stratégique le 14 mai, une échéance clé pour les actionnaires et le marché.



    📌 Conclusion Trois mois après le début de sa transformation, Atos montre des signes encourageants de stabilisation et de reprise. Les efforts de restructuration portent leurs fruits, avec une réduction significative des pertes de trésorerie et une dynamique commerciale prometteuse.

    Sous l’impulsion de Philippe Salle, l’entreprise retrouve de l’ambition et attire à nouveau les talents qui croient en son potentiel. Le plan stratégique attendu le 14 mai devrait marquer une nouvelle étape et clarifier les orientations pour renforcer la position d’Atos sur le marché.

    La route est encore longue, mais le cap est fixé : redonner à Atos sa place de fleuron du numérique. Avec des bases assainies et une vision affirmée, l’avenir semble bien plus lumineux !


  • 19 avril 2025 20:02

    Merci Chatgpt :)


  • 19 avril 2025 20:13
    19 avril 2025 20:02

    Merci Chatgpt :)

    Flattée de voir que mes idées circulent


  • 20 avril 2025 01:08
    19 avril 2025 09:26

    Atos : Trois mois après la restructuration, où en est le redressement ?


    📌 1. Restructuration financière Atos a engagé une restructuration pour stabiliser sa situation financière, réduire son endettement et recentrer ses activités sur des segments stratégiques à forte valeur ajoutée. Cette transformation vise à améliorer la rentabilité du groupe et sa compétitivité à long terme.


    📌 2. Évolution du chiffre d’affaires Le chiffre d’affaires a baissé de 16% au premier trimestre 2025, conséquence directe des pertes de contrats enregistrées en 2024 avant la restructuration. À cela s’ajoute la réduction volontaire des activités BPO au Royaume-Uni et un ralentissement du marché dans certaines zones. Cependant, Atos a aussi signé 1,7 milliard d’euros de nouvelles commandes au T1 2025, ce qui montre un potentiel de reprise.


    📌 3. Réduction massive des effectifs En deux ans, Atos a supprimé un tiers de ses postes, passant de plus de 110 000 employés à 74 074. Une grande partie des effectifs a été transférée vers des pays à bas coûts, notamment l’Inde, où plus de la moitié des employés sont désormais basés. De plus, depuis le 31 décembre 2024, la réduction des effectifs a été de 5,2%, principalement en raison des départs liés au plan de restructuration.

    📌 4. Trésorerie et liquidité La consommation de trésorerie a été limitée à -40 millions d’euros au premier trimestre 2025, contre -415 millions d’euros au T1 2024. La position de liquidité est estimée à 1,96 milliard d’euros à fin mars 2025, contre 2,18 milliards d’euros à fin décembre 2024. Atos dispose de 1,52 milliard d’euros de trésorerie et équivalents, ainsi que 440 millions d’euros de facilité de crédit renouvelable non tirée.

    Cette trésorerie est suffisante pour mener à bien la restructuration en cours et il n’y a aucune raison de procéder à une augmentation de capital (AK), contrairement à ce que certains suggèrent. La gestion prudente des liquidités permet au groupe de traverser cette période stratégique sans avoir à recourir à une dilution des actionnaires.


    📌 5. Impact des messages alarmistes sur les algorithmes La répétition excessive de discours pessimistes sur les forums et réseaux peut influencer les algorithmes boursiers, amplifiant artificiellement la pression sur le titre et contribuant à une perception négative du marché.

    📌 6. Regroupement des actions jeudi prochain Le regroupement des actions prévu jeudi pourrait être exploité pour intensifier la pression négative. Cependant, il s’agit d’une opération technique qui ne change pas la valeur totale des actions détenues par les investisseurs.

    📌 7. Le rôle de Philippe Salle Philippe Salle, nommé PDG d’Atos le 1er février 2025, s’est donné deux ans pour redresser l’entreprise et lui redonner sa place de fleuron du numérique.

    Il pilote les finances au plus serré, vérifiant chaque soir les positions de tous les comptes bancaires du groupe.

    Il vit Atos 7 jours sur 7, consacrant tout son temps à la transformation du groupe.

    Son projet attire les talents, notamment des experts de Thalès et d’anciens cadres d’Atos revenus pour participer à la relance.

    Il dévoilera les grandes lignes de son plan stratégique le 14 mai, une échéance clé pour les actionnaires et le marché.



    📌 Conclusion Trois mois après le début de sa transformation, Atos montre des signes encourageants de stabilisation et de reprise. Les efforts de restructuration portent leurs fruits, avec une réduction significative des pertes de trésorerie et une dynamique commerciale prometteuse.

    Sous l’impulsion de Philippe Salle, l’entreprise retrouve de l’ambition et attire à nouveau les talents qui croient en son potentiel. Le plan stratégique attendu le 14 mai devrait marquer une nouvelle étape et clarifier les orientations pour renforcer la position d’Atos sur le marché.

    La route est encore longue, mais le cap est fixé : redonner à Atos sa place de fleuron du numérique. Avec des bases assainies et une vision affirmée, l’avenir semble bien plus lumineux !

    Très bonne analyse 👍


  • 20 avril 2025 12:21

    Atos L’activité patine, entre fins de contrats et recul des commandes investir 19/04/2025
    Atos n’est pas encore sorti de l’ornière. Si l’ex-fleuron technologique s’est offert du répit en bouclant sa restructuration financière en fin d’année dernière, la dynamique commerciale reste contrariée, comme le montre le point d’activité émis mercredi 16 avril pour le compte du premier trimestre. Le chiffre d’affaires ressort en effet à 2,07 milliards d’euros sur la période, en baisse de 15,9 % à changes et périmètres constants sur un an, avec un recul presque aussi marqué chez Eviden (– 14 %, à 973 millions d’euros) que chez Tech Foundations (– 17,5 %, à 1,09 milliard). Atos explique que son activité a été affectée « par la baisse des prises de commandes et par les fins de contrats enregistrées en 2024 ». En léger rebond (+ 7 %) par rapport au premier trimestre 2024, les prises de commandes se sont établies à 1,7 milliard d’euros sur les trois premiers mois de l’année, traduisant un ratio bookto-bill de 0,81 « insuffisant pour lais-ser entrevoir le retour de la crois-sance à court terme », selon les analystes d’Allinvest Securities. Le carnet de commandes, qui ne cesse de se désemplir, s’élève à 12,6 milliards d’euros à fin mars, soit 1,3 année de chiffre d’affaires (contre 22,3 milliards d’euros à 2,1 années de revenus, à fin mars 2022). Ce premier trimestre en retrait rend par ailleurs difficile l’atteinte des objectifs présentés dans le cadre du plan de sauvegarde, qui prévoyait, pour rappel, une décroissance organique des revenus limitée à 1,8 % en 2025.
    Présentation du plan stratégique le 14 mai Engagé dans une phase de reconquête commerciale, Atos est en revanche parvenu à limiter sa consommation de trésorerie à 40 millions au premier trimestre, contre plus de 400 millions un an aupara-vant. Le groupe, désormais dirigé par Philippe Salle, dispose ainsi encore d’une liquidité totale de 1,96 milliard, dont 440 millions de facilités de crédit renouvelable non tirée. Le dirigeant sera – très – attendu, le 14 mai, à l’occasion du Capital Markets Day, où il dévoilera la nouvelle feuille de route pour les exercices à venir. - Q. S.
    Il A dit « Bien que le chiffre d’affaires soit resté sous pression, notre activité commerciale a continué de se redresser au cours du trimestre, témoignant de la confiance et de l’engagement de nos clients et laissant entrevoir des perspectives favorables pour l’avenir d’Atos. » Philippe Salle, PDG
    « Bien que le chiffre d’affaires soit resté sous pression, notre activité commerciale a continué de se redresser au cours du trimestre, témoignant de la confiance et de l’engagement de nos clients et laissant entrevoir des perspectives favorables pour l’avenir d’Atos. » Philippe Salle, PDG
    Notre conseil l rester à l’Écart Les perspectives de redressement demeurent, à ce stade, encore trop incertaines pour se repositionner sur le dossier (ATO). Prochain rendez-vous : le 14 mai, Capital Markets Day


  • 20 avril 2025 14:12

    bhuguet2

    J’ai lu l’article d’Investir* ainsi que celui de Capital, qui mettent en avant la baisse du chiffre d’affaires d’Atos et les défis liés à la restructuration.
    Cependant, l’annonce d’une décroissance limitée à 1,8 % semble déconnectée des prévisions réelles et de la tendance actuelle.
    D’après les estimations de Crédit Agricole, le chiffre d’affaires prévu pour 2025 est de 8 946 M€, contre 9 577 M€ en 2024, soit une baisse plus marquée.
    Cette évolution était anticipée selon Atos dans le cadre de la restructuration, et Atos mise sur un redressement progressif via sa nouvelle stratégie commerciale


  • 22 avril 2025 08:49

    J'insiste sur ces deux points majeurs éludés dans vos écris:

    1/ la dette nette très élevée (1,3 GE), qui sert principalement à enrichir les banques au détriment des actionnaires et dont la disparition doit être la top priority pour remettre les ratios de solvabilité dans la norme.

    2/ la cession des actifs les plus rentables (estimée à 1,1 GE) à éviter absolument si le but recherché est de renflouer les finances. Ou au pire, l'état qui est demandeur et espère rafler ces pépites au rabais doit en payer le prix fort.

    AMHA, la solution la plus efficace serait de lancer une nouvelle AK de 1,3 GE afin de renvoyer la dette nette à zéro (cf Vallourec).

    Personnellement je suivrais ce modèle, sachant que les DPS amortiraient largement le dilution.

    Alors Atos passerait rapidement en notation "investment grade" et le recovery serait immédiatement amorcé et surtout son timing boosté.

    C'est ce que feront très probablement Phillipe Salle et son DF.


  • 22 avril 2025 09:00

    byjfk

    Bonjour

    J’ai cherché à faire une synthèse avec les éléments en notre possession, sans plus, afin d’apporter plus de clarté.
    Cela dit, toutes les hypothèses peuvent être discutées et éventuellement approuvées


  • 22 avril 2025 09:03

    Merci la synthèse est excellente.
    Je mets en lumière ces deux points ultra sensibles pour relancer Atos, espérons des annonces dans ce sens mi mai …


  • 22 avril 2025 10:56

    Une AK, peut-être, mais à combien? Et si l'Etat rachète ce qu’il veut, sans doute pas besoin.
    Je rappelle que le DG et le DF ont racheté des actions, ce n’est sans doute pas pour qu’elles soient diluées de suite.
    Je me trompe peut-être, mais je ne vois pas l’intérêt maintenant, et notamment pour les créanciers, qui voudront partir en 2026, dixit Philippe Salle.


  • 22 avril 2025 11:03

    ne pas croire à Atos aujourd'hui est une erreur professionnelle


  • 22 avril 2025 11:06

    @g;prigen

    De mémoire, M. Salle n’a pas donné de dates précises.
    En revanche, il a évoqué des cessions d’actions par les créanciers participants avec un multiple de 4 ou 5.

    Peut-être cela concerne-t-il les cessions des créanciers non participants prévues en 2026 ?


  • 22 avril 2025 12:18

    BRAVO22 , c’est ce que j’ai compris de l’entretien récent de Philippe Salle que tu avais publié, de mémoire.
    Après, ai-je tout bien compris... 🤔


  • 22 avril 2025 12:36
    22 avril 2025 12:18

    BRAVO22 , c’est ce que j’ai compris de l’entretien récent de Philippe Salle que tu avais publié, de mémoire.
    Après, ai-je tout bien compris... 🤔

    Je crois que tu fais référence à la recherche d'actionnaires stables.
    Cependant, je pense que cela ne concerne pas les créanciers participants, qui ont un PRU théorique de plus de 100 euros après le regroupement. À l'époque, nous avions fait les calculs.
    D'ailleurs, partager différentes interprétations est utile pour enrichir l’analyse et affiner notre compréhension de la situation


  • 22 avril 2025 12:41

    Je pense que le board refusera des cessions sous la contrainte et à vil prix.
    PS à clairement dit qu’il n’était pas en position d’accepter n’importe quoi.
    Si c’était le cas, ce qui malheureusement est probable (cf nationalisation EDF), une AK soft serait une alternative favorable aux actionnaires car elle permettrait à Atos de garder dans son périmètre les meilleurs actifs.


  • 22 avril 2025 12:47

    byjfk

    Personnellement, la cession des supercalculateurs ne me préoccupe pas, car cela demande énormément de fonds. De plus, aucune autre cession n’est prévue.


  • 22 avril 2025 12:55

    Seul les supercalcuteurs sont prévus à la vente? Pas d'autres domaines dans la dissuasion nucléaire ?

    byjfk , effectivement, si Atos veut garder tout ça, une petite AK serait la bienvenue.


  • 22 avril 2025 12:58

    BRAVO22
    En effet, cela dit les activités stratégiques préemptees par l’état n’ont pas de prix… il suffit de les payer à leur juste valeur.


  • 22 avril 2025 19:18
    22 avril 2025 12:58

    BRAVO22
    En effet, cela dit les activités stratégiques préemptees par l’état n’ont pas de prix… il suffit de les payer à leur juste valeur.

    Oui, mais les caisses de l'Etat sont vides, on ne va pas accroitre son déficit pour enrichir quelques actionnaires spéculateurs!


  • 22 avril 2025 19:22
    22 avril 2025 19:18

    Oui, mais les caisses de l'Etat sont vides, on ne va pas accroitre son déficit pour enrichir quelques actionnaires spéculateurs!

    La cession se fera certainement dans la fourchette haute prévue


  • 22 avril 2025 19:58

    Aujourd'hui à 14 heures

    Source : sénat . fr

    Dans le cadre des Aides aux grandes entreprises,

    Audition d'Atos : Philippe Salle, président-directeur général.


  • 22 avril 2025 20:34
    22 avril 2025 19:18

    Oui, mais les caisses de l'Etat sont vides, on ne va pas accroitre son déficit pour enrichir quelques actionnaires spéculateurs!

    C’est parfait, une mini AK a 1,3GE prend tout son sens et me va très bien, les actionnaires profiteraient pleinement recovery qui serait déclenché dès la confirmation du succès de l’augmentation de capital.


  • 22 avril 2025 20:36
    22 avril 2025 19:22

    La cession se fera certainement dans la fourchette haute prévue

    Trop bas, je suis convaincu que PS s’il décidait la vente obtiendra beaucoup plus.


  • 23 avril 2025 11:39

    https://videos.senat.fr/video.5311760_6807e025102f7.aides-aux-grandes-entreprise s--audition-d-atos


  • 23 avril 2025 13:04

    Merci beaucoup BRAVO22 !
    Entre les 40ième et 41ième minutes, nous avons la confirmation que les supercalculateurs vont être cédés. Donc, on ne devrait pas avoir besoin d'une AK supplémentaire.


  • 23 avril 2025 13:10
    23 avril 2025 13:04

    Merci beaucoup BRAVO22 !
    Entre les 40ième et 41ième minutes, nous avons la confirmation que les supercalculateurs vont être cédés. Donc, on ne devrait pas avoir besoin d'une AK supplémentaire.

    Oui

    Le prêt accordé par l'État de 50 millions d'euros à Atos a bien été remboursé, mais cela lui a coûté 15 %. Sacrée générosité !!!!!!!


  • 23 avril 2025 13:35

    Disons que c'est déjà beaucoup mieux que les prêts accordés aux banques françaises lors de la crise 2008, remboursés à peine un an après. Le taux était de 6%, je crois.
    Mais bon, je suis content que l'Etat gagne de l'argent, c'est bon pour nous, dans un certain sens.

    En tant que je te remercie pour le lien. J'ai trouvé un dirigeant qui me paraît très compétent, qui sait de quoi il parle, en fiscalité et en techniques du métier. Il dit déjà pas mal de choses, même s'il ne voulait pas trop en dire avant le 14 mai.
    En gros, on va casser les contrats pourris, qui coûtent du temps et de l'argent, et on va repartir sur de nouvelles bases sur les logiciels et sans les supercalculateurs qui coûtent très chers.

    Cela me paraît très bien, ça va dans le bon sens.


  • 23 avril 2025 13:38

    Et surtout, il n'y a pas de problème de trésorerie!!! Il faut simplement se concentrer sur de nouveaux contrats, avec cette fois de bonnes marges. Moins mais mieux rémunérés, c'est ça qui est nécessaire pour une entreprise.


  • 23 avril 2025 13:43

    g.prigen

    Oui, j’ai apprécié sa prestation !
    Concernant la cession des supercalculateurs, je mise sur la fourchette haute—et si c’est plus, alors champagne !

    J’ai hâte d’être au 14 mai. C’est quand même dingue de vouloir vieillir, mais bon...


  • 23 avril 2025 15:19

    le 14 mai, 14 jours avant mon anniversaire, j'espère un bô cadeau pour la fin du mois. 🤑


  • 23 avril 2025 19:05

    Quelle est la rentabilité de cette branche en 2024?
    Combien d'informaticiens?


  • 24 avril 2025 08:09

    En effet PS au sénat m’a fait très bonne impression, tout sauf un baratineur, espérons qu’il ne se laissera pas balader par les fonctionnaires de Bercy.
    Je reste raisonnablement optimiste sur une cession sensiblement au dessus de la fourchette haute de 650M€.

    Une AK d’un montant équivalent à la dette nette résiduelle post cession me conviendrait, cela permettrait de relancer les cours.

    Le cours moyen entre aujourd’hui jour du regroupement et le 14 mai jour de l’annonce du plan stratégique impactera le prix de cession.

    Cela va tanguer jusqu’au 14 mai…


  • 24 avril 2025 08:26

    Oui byjfk , ça risque de tanguer. Plus que 3 semaines à attendre. On va voir comment ça évolue. Je ne serais pas surpris qu’on titille les 60 euros avant le 14 mai, eu égard à ce qui s’est passé sur le cous en un an.
    Mais on verra bien.


  • 24 avril 2025 09:26

    Un bon point d’entrée pour renforcer ce matin…


  • 24 avril 2025 09:34

    Je suis en cours d'achat de 60 actions. Cela change d'avant. C'est maigre. 😁


  • 24 avril 2025 09:43
    22 avril 2025 08:49

    J'insiste sur ces deux points majeurs éludés dans vos écris:

    1/ la dette nette très élevée (1,3 GE), qui sert principalement à enrichir les banques au détriment des actionnaires et dont la disparition doit être la top priority pour remettre les ratios de solvabilité dans la norme.

    2/ la cession des actifs les plus rentables (estimée à 1,1 GE) à éviter absolument si le but recherché est de renflouer les finances. Ou au pire, l'état qui est demandeur et espère rafler ces pépites au rabais doit en payer le prix fort.

    AMHA, la solution la plus efficace serait de lancer une nouvelle AK de 1,3 GE afin de renvoyer la dette nette à zéro (cf Vallourec).

    Personnellement je suivrais ce modèle, sachant que les DPS amortiraient largement le dilution.

    Alors Atos passerait rapidement en notation "investment grade" et le recovery serait immédiatement amorcé et surtout son timing boosté.

    C'est ce que feront très probablement Phillipe Salle et son DF.

    Oui mais trop tôt.

    Une AK sera bien évidemment nécessaire, l'endettement brut restant énorme.

    Mais il faudrait retrouver les faveurs des investisseurs ( et peut être un meilleur cours de bourse ) .


    Mais oui une AK semble encore indispensable à ce stade.
    Il faut donc rester prudent et attentif .


  • 24 avril 2025 13:00

    Inespéré ce matin ce mouvement à la baisse pour renforcer à bon compte pour le MT

    L’attaque mettra la pression sur le board pour durcir le ton avec l’état sur les cessions en projet.

    Il semblerait toutefois que ce ne soit pas suffisant pour calmer les ploucs de ce forum…


  • 24 avril 2025 13:04

    Les pollueurs incultes qui sévissent ici se reconnaîtront à la vitesse du flash trading


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