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Retour au sujet ATOS

ATOS : Cela bouge

17 avr. 2024 11:36

Les créanciers comptent prendre la main chez Atos. « On va faire une offre où nous prenons les clés et apportons la totalité de l'argent frais », dit l'un d'entre eux. Plus de place au doute chez les hedge funds et les autres créanciers obligataires détenteurs de la moitié des 4,8 milliards d'euros de dette du fleuron du cloud et du supercalcul, dont la valeur s'est effondrée à moins de 200 millions d'euros : « Nous sommes les propriétaires virtuels ».

« Si des industriels s'intéressent à Atos, comme David Layani, dit l'un d'eux, on étudiera leur demande. Mais on n'a besoin de personne ». Rivaux jusqu'ici, les deux camps de créanciers obligataires ont ce dimanche uni leurs forces pour peser plus lourd dans les négociations : les porteurs de dette à échéance 2024-2025 menés par les hedge funds Boussard & Gavaudan , D.E. Shaw, Tresidor Investment Management et Syquant Capital ont pactisé avec la finance institutionnelle exposée à plus long terme -le spécialiste de la protection sociale AG2R, les gestionnaires d'actifs Schelcher Prince Gestion (Arkéa), OFI (Aéma) et Amundi, ainsi que les banques privées Lombard Odier et Pictet porteurs de dette jusqu'en 2029.
Lire aussi :

Le G20 des hedge funds génère 67 milliards de dollars de profits pour ses clients

Les hedge funds lorgnent la dette des entreprises en faillite
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A la tête d'un bloc uni de 2,4 milliards d'euros, ils se disent prêts sur le principe à convertir la moitié de leur dette en capital. Une réponse favorable donnée à l'appel d'Atos la semaine dernière : le géant du numérique a donné à ses créanciers et à tous les volontaires jusqu'au 26 avril, dans neuf jours, pour trouver le moyen de diviser par deux sa dette et injecter 1,2 milliard d'euros d'argent frais. Dans une interview à Bloomberg ce matin, Paul Saleh, le DG du groupe, se dit confiant sur l'avancée des discussions et le sauvetage d'Atos d'ici juillet.

« La société a donné un cahier des charges, on s'y inscrit », dit un porteur de dette. « Aujourd'hui il y a un accord de principe chez les obligataires. Tout sera ensuite question de savoir combien vaut Atos, en quels termes va s'opérer la conversion, et combien sont prêts à injecter les uns et les autres », dit un créancier. C'est clé, car ceux qui ont le plus de moyens verront leur créance plus sécurisée que les autres. Les lignes vont encore bouger, tout est ouvert ».

Un pas positif donc pour Atos, mais pas de quoi conforter tout à fait le gouvernement : la perspective de voir les supercalculateurs employés pour la simulation des essais nucléaires, le développement du système de commandement du programme Scorpion de l'Armée de terre, ou encore le prestataire de sécurité des connectivités à bord du nouveau Rafale « F4 » de Dassault , tomber entre les mains de multiples hedge funds et fonds de dette a de quoi donner des sueurs froides dans l'appareil d'Etat.

Bercy a annoncé prendre une action de préférence au capital de l'ex Bull qui concentre les actifs sensibles d'Atos. « A ce stade toutefois rien n'est fait, cela va prendre plusieurs mois. Il faut encore détourer et isoler l'activité du reste du groupe, former et cantonner la nouvelle entité juridique », dit un proche du dossier. D'ici là le sauvetage d'Atos peut réserver des surprises.
«Pas là pour dépecer la bête»

Là aussi, hedge funds et créanciers obligataires veulent rassurer : ils ne joueront pas aux kamikazes avec l'Etat : « Nous sommes prêts à mettre en place une nouvelle gouvernance souveraine appropriée », assurent-ils. « L'Etat a un intérêt légitime à vouloir protéger ses actifs sensibles. On n'est pas là pour dépecer la bête »

Ils seraient prêts par exemple à accepter la nomination d'un membre de l'Etat au conseil d'Atos, même si dans leurs rangs certains parlent plutôt d'engagements de maintien de l'activité en France, ou de représentants indépendants. « C'est ce que l'Etat avait demandé lors de la restructuration du parapétrolier CGG, dit un créancier. Mais sur le principe tout ce que demande l'Etat, je le fais »
Lire aussi :

Services informatiques, Atos : une question à 5 milliards

Après le faux bond d'Airbus, les quatre dossiers chauds d'Atos

Personne ne se risque à penser « nationalisation » à ce stade . Encore moins du côté de David Layani qui espère monter à 35 % du capital et avec qui les obligataires sont en négociations avancées pour trouver une solution d'équilibre avec un actionnaire de référence pour Atos: « nous n'avons pas de sujet avec l'Etat » affirme-t-on dans le camp de l'entrepreneur associé à Walter Butler et financé par Carlyle.

Le volontarisme des hedge fund et l'intervention de l'Etat dans le dossier ne font en revanche pas les affaires des banques qui détiennent l'autre moitié des 4,8 milliards d'euros de dette. Sept seraient en première ligne : BNP Paribas, Société Générale, CIC (Crédit Mutuel) et Natixis (BPCE), ainsi que Commerzbank, ING et Barclays.
Frein des banques

La perspective de convertir leur dette, et de devoir inscrire une charge en capital quasi équivalente repousse une grande part d'entre elles. « Ce n'est pas bien vu, non, pour les banques l'enjeu est bien plus compliqué que pour les créanciers obligataires. On attend encore beaucoup d'éléments financiers d'Atos pour se prononcer. L'échéance donnée par Atos pour des propositions est très courte » dit l'un d'eux.

Les créanciers obligataires estiment en tout cas eux que les banques devront prendre leur part de la peine, soit en théorie la moitié des 2,4 milliards d'euros qu'Atos veut effacer : « Contrairement à Orpea ou Casino, la structure financière est « pari passu », personne n'a plus de droit que les autres. La conversion s'impose à tout le monde. On est prêt à convertir mais sur la base d'un effort partagé », dit un membre obligataire.

La présence des pouvoirs publics pourrait en tout cas aider à convaincre les banques : « L'Etat est très impliqué dans le dossier, dit un obligataire. Les banques françaises en particulier n'ont pas de moyen de bloquer le deal cette fois ci ».

41 réponses

  • 17 avril 2024 11:47

    J'ai beaucoup de mal à comprendre ce que signifie pour David Layani prendre 35%, et pourquoi 35%, et pas 29.9% ou 49,9%?

    Etant donné les sommes, 2.4 milliards de dette et le new money...quelqu'un aurait un scénario explicatif ou une pensée à ce sujet? 


  • 17 avril 2024 11:55

    Bonjour Off86 ,

    Se pose également la question des votes en AG, chacun va voter selon les proportions qui sont sienne mais l’équilibre de partage de la dette a été savamment orchestré, mettant chacun dos au mur. 
    Au milieux, monsieur Layani a dorénavant le soutien de l’Etat, en tant que garantie souveraine et avec des fonds, possibilité d’une commandite sur la structure du capital.

    Dans l’ensemble des entreprises du CAC40 sous commandite d’une famille, en général, il fait avoir entre 25 et 35% du capital pour pouvoir diriger sereinement…


  • 17 avril 2024 11:57

    On ne peut tirer aucun scénario tant qu'on a pas l'estimation de la valeur d'Atos, c'est ce qui va décider de la manière dont les créances vont être convertie et aussi du niveau de dilution des actionnaires.


  • 17 avril 2024 12:01

    victorda

    Mais d'où il va le sortir le milliard? 
    Comment va-t-il passer devant les créanciers?
    Dans son scénario il n'y a plus conversion de dettes mais on repousse l'échéance.

    Donc l'AK réservée se ferait sur une urgence type New York Community Bank? Mais les sommes me paraissent si faibles, il apporterait le coût de la scission qu'il refuse! 
    Donc partant de là, toute dilution exagérée serait condamnée à être poursuivie juridiquement, etc. 


  • 17 avril 2024 12:16

    Re bonjour Off86 ,

    Je me permets de reprendre Homiz  et Monsieur Layani dans son interview (tout y est dit), tout va dépendre de l’audit! La valeur d’entreprise sera le talon sur laquelle va reposer le montage financier. Et donc le cours du titre, totalement artificiel car basé sur une scénario à la Casino, est inadapté aux négociations en cours.

    Attendons patiemment mais il ne sert à rien de vouloir tordre la réalité pour la faire coller à nos désirs ou nos angoisses, et je persiste sur un cours du titre entre 15€ et 20€ pour que le plan d’un Atos entier qui l’emportera soie une réussite. Cela permet d’éviter une dilution massive, minimise l’apport de new money et rend possible par une AK avec DPS, un équilibre dans la structure du capital entre les différents tout en donnant commandite à monsieur Layani…

    Car c’est écrit, exit le démantèlement, Atos entier, peut etre un One Atos et l’Etat qui validera toute issue équilibrée entre les partis, si possible dans activation du droit de préemption, et donc un entrepreneur français comme monsieur Layani qui arriverait à l’emporter pourrait avoir sa préférence… 


  • 17 avril 2024 12:19

    Plus que sur ORPEA et Casino ou le montant de la dette convertie était tellement énorme qu'il n'y avait pas de débat, dans ce cas ci, l'estimation du paquebot pourrait laisser place a de grosse controverse et potentiellement juridique si l'estimation était trop basse.


  • 17 avril 2024 12:27

    victorda

    Layani ne dit rien, c'est du texte marketing d'un entrepreneur qui nous dit en septembre 2022 que OnePoint vaut 1 milliard. 
    Le seul élément, c'est qu'il semble conciliant et c'est ce qu'on retrouve dans les propos qu'on rapporte de Layani. 

    Concernant son projet OneAtos, il dira bien sûr que c'est après mûres réflexions et concertation avec les salariés et les clients, mais je rappelle qu'il semblait très intéressé par la scission d'Atos et qu'en 2022 il n'a pas cherché à devenir "actionnaire de référence". 


  • 17 avril 2024 13:49

    Bonjour,

    Attendons le plan de Layani pour y voir plus clair. Mais je pense que s'il souhaite mettre la main sur ATOS ce n'est pas pour gérer 2 groupes distincts, mais bien pour les fusionner.
    Une grande partie de l'équation réside dans la quantité de fonds dont il disposera pour réaliser son plan.

    Encore 1 semaine avant l'échéance.


  • 17 avril 2024 13:54

    Bravo aux Edges founds pour leurs citation : Nous sommes les propriétaires virtuels

    Vous noterez que l'on parle de Layani, des banques, de l'états, des edges founds mais en aucun cas des vrais propriétaire actuel, les actionnaires.

    Comme ils ne disposent d'aucun représentant dans ces négociations, j'ai peur que ca se passe très mal. 


  • 17 avril 2024 14:00

    Ce sont les actionnaires qui voteront au final , donc les hedges fund peuvent dire ce qu'ils veulent aucun d'entre eux n'est sécurisé


  • 17 avril 2024 14:03

    Bonjour à tous,

    Je reprends @gump32, les actionnaires seront écrasés par les 2 groupes créanciers. Toutefois, sans monsieur Layani, nous le serions déjà.
    One Point n’a pas les moyens de brûler les 70M€ déjà investis, ils doivent être transformés en AK avec DPS, et le cours du titre doit monter bien plus haut pour éviter la dilution voulue par les propriétaires virtuels…

    Mais eux-même ne veulent pas « dépecer la bête », sauf les banquiers conseils, et la solution « Layani PDG » peut emporter le consentement général, État y compris.

    Reste donc la question du cours du titre, et là, les derniers articles sur la valeur d’entreprise semblent laisser entrevoir une issue. Reste que beaucoup de titres ont été échangés ces 7 derniers mois, quid de combien ont été confisqués hors marché pour s’assurer du vote en AG car les mouvements récents et l’attitude de BOA laisse entrevoir des surprises cachées dans la structure actuelle du capital…


  • 17 avril 2024 14:29

    " Attendons patiemment mais il ne sert à rien de vouloir tordre la réalité pour la faire coller à nos désirs ou nos angoisses, et je persiste sur un cours du titre entre 15€ et 20€ pour que le plan d’un Atos entier qui l’emportera soie une réussite "

    merci pour la tranche de rire 😁


  • 17 avril 2024 14:43

    Certains ici vont apprendre à leurs dépens quel est l'ordre de priorité entre les créanciers et les actionnaires. Mais sans doute ont-ils besoin d'apprendre dans la douleur malgré les exemples qui ne manquent pas dans l'histoire boursière.


  • 17 avril 2024 14:59

    Bonjour, 

    Je ne trouve aucune raison de rire de ce constat. Le projet d’un Atos entier n’a aucune chance de se réaliser au cours actuel. Et une One Atos, sans une remontée du cours, n’a également aucune chance de naître si la conversion de dette se fait au cours actuel. 

    C’est cela la réalité.

    Par contre, nous avons une valeur d’entreprise assurément supérieure au cours actuel, un actionnaire qui a mis son entreprise en danger pour monter au capital d’Atos, des créanciers et banquiers à parité sur la dette et aux intérêts divergeants et enfin une VAD très élevées. 
    Certes les actionnaires contribuerons aux efforts, les créanciers aussi mais s’ils veulent le faire à moindre coût, il y a un clan qui peut mettre la main à la poche et que personne ne regrettera, la VAD. Nous ne parlons pas de 5 ou 10% de VAD , mais de 18,5% au delà de 0,5%, sans parler des autres. De quoi payer une belle remontée du cours et par la même, une distribution au capital compatible avec la plan « Atos entier »

    Tous les autres scénarios, qui sont d’ailleurs ceux à laquelle nous assistons, sont un démantèlement car « nous ne dépècerons par la bête » n’engage que ceux qui y croient et en tant que « propriétaire virtuels », cela ne les engage en rien, n’en déplaise à un état et à des actionnaires embêtés…


  • 17 avril 2024 15:09

    Je regarde aussi les participations de l'état dans airbus  c'est 15 milliards dans Thales 8  Stellantis idem.
    Donc impossible d'aider layani dans son plan tout en faisant une grosse plus vale et en faisant sortir la Vad.


  • 17 avril 2024 15:15

    Il faut lire l'article bloomberg :

    Certains fonds obligataire proposent de transformer la moitié de leurs dettes en créances + apporter 600 millions de New money mais sous forme de nouveaux bonds(donc prêt) ... 

    Cette forme serait moins douloureuse pour l'actionnaire.


  • 17 avril 2024 15:20

    Off86 pour comprendre quel est l’interet de detenir 25% ou 35% ? En AG et en AGE   , le fait de détenir une minorité de blocage est indispensable pour gerer une entreprise. 


  • 17 avril 2024 15:52

    Nous découvrirons les plans de Layani le moment venu et les impacts potentiels sur le cours de l'action, mais il pourrait être inspiré de trouver une solution qui limite la dilution ou du moins la baisse du cours.

    Non pas pour les actionnaires particuliers mais plutôt pour les 90k salariés qui sont pour la plupart actionnaires de l'entreprise via différents placements. Reprendre une entreprise après avoir dilué totalement ses salariés, il y a mieux comme motivation pour entrevoir son redressement futur.

    Affaire à suivre


  • 17 avril 2024 16:00

    La lecture de ce thread est un bienfait pour le corps et l'esprit. Quelle rigolade! ça devrait être remboursé par la sécu.


  • 17 avril 2024 16:08

    L'actionnaire peut être mis de coté en passant par une sauvegarde express. Le juge valide ce qui sort de la concilliation et les actionnaires ont plus qu'a se taire, leur avis et même si il y avait eu un vote contre peut être by-passé par le juge.


  • 17 avril 2024 16:14

    ozymandias2906  Si ca peut te rassurer sur ta propre position en VAd tant mieux on verra qui rira le dernier


  • 17 avril 2024 16:21

    Bonjour @FFA3030, 

    Peut être mais seulement une fois le plan de monsieur Layani assuré. Tenir en respect cette issue qui ferait qu’il n’aurait aucune chance de parvenir à ses fins sans mot dire, il l’a payé cher: 11% du capital pour plus de 60M€…


  • 17 avril 2024 16:30

    Les banquiers jouent peut etre la montre en signalant que le timing est juste. Ils espèrent peut etre arriver à un extrème comme ca c'est passé avec le Crédit Suisse et que l'état sauve l'entreprise avec une decision express en 48 heures et une participation aux sauvetage de Atos a moindre frais pour eux. 

    Il ne faut pas les sous estimer, ils detestent perdre de l'argent, et certaines banques créancières de Atos ne sont pas française.
    L'état ne pourra pas les faires plier facilement et renoncer a des milliards de dettes. 


  • 17 avril 2024 16:34

    @gump32 le temps de jouer la montre est fini depuis un moment, on en est plus a la, avant la rentrée l'affaire sera pliée


  • 17 avril 2024 16:38

    1 banquier  prete de l argent en fonction de pas mal de critères   
    Valeur de l.entreprise et du bénéfice    
    Combien est estimé atos  maintenant celui  qui a la réponse   gagnera  beaucoup d argent  
    Donc les prêteurs sont prêt à convertir 50 % de la dette plus de l.argent  frais  
    Donc atos vaudrait 2.5 millards  et non 200 millions 


  • 17 avril 2024 17:02

    « Aujourd'hui il y a un accord de principe chez les obligataires. Tout sera ensuite question de savoir combien vaut Atos, en quels termes va s'opérer la conversion, et combien sont prêts à injecter les uns et les autres »

    Mais vous avez un clampin thai qui pensent savoir mieux que tout... fait nous voir ton calcul qui nous amène a 99% de dilution pour qu'on rigole..


  • 17 avril 2024 17:03

    Donc les banques estiment atos a 2.4 millards  
    En actif   
    Reste la conversion  a déterminer  ( prix de l action)  


  • 17 avril 2024 17:05

    M5191121

    Oui bien sûr, mais moi aussi je veux 30% d'Atos ou 49% la question c'est comment OnePoint les finance alors que sa société ne fait que 300/500 millions de CA.


  • 17 avril 2024 17:13

    mar27 les banques n'estiment rien du tout on leur demande de convertir 50% de leur créance en capital, on verra a combien est estimé l'ensemble.


  • 17 avril 2024 17:21

    Homiz

    Tu n'es pas un maître de finance, on sait tous déjà que les banques appellent map/ Si vous apportez le coût de la scission on vous donne 25% d'Atos!
    C'est drôle, n'est-ce pas? 


  • 17 avril 2024 17:22

    Un insatisfait pourrait-il lancer une OPA ?

    Il n'en faudrait pas beaucoup : 500M environ pour rafler la mise suffirait. Par contre après il faudrait sortir 3MM pour la new money et le rééchelonnement de la dette.

    C'est pas totalement déconnant s'il vise 8% de marge sur 10MM de CA en quelques années.


  • 17 avril 2024 17:32

    Je ne suis pas d accord les banques ont des critères   
    Valeur de l.entreprise . marge . Brevets  ect  
    A vous lire 1 entreprise  peut emprunter  sans contre parti  


  • 17 avril 2024 17:33

    Off86  La seule chose que je souhaite c'est le détail de son calcul qui nous amène a 99% de dilution sur une base de 2.4 milliards convertie en capital et AK réservée de 600 millions.

    Ca devrait être simple de nous fournir ce détail quand on est un expert comme lui...il nous parle de l'émission de 5 milliards de nouvelles actions, j'aimerais le détails de ces données que nous n'avons pas.

    Mais apparemment il ne veut pas partager sa formule de calcul magique.


  • 17 avril 2024 18:09

    Melea "Un insatisfait pourrait-il lancer une OPA ?"

    Layani a appelé Butler en renfort pour cela. Si les nego lui conviennent pas, il peut lancer une OPA et negocier avec l'Etat la reprise de BDS pour 1.8 milliards pour eponger de la dette.

    Les creanciers sont les "proprietaires virtuels"... bon courage pour les mettre d'accord s'ils sont plus de 20!

    Quand on voit comment les "financiers" ont géré Atos, il faudrait peut-etre mieux avoir un projet industriel avant de vouloir être propriétaire.


  • 17 avril 2024 18:15

    Les creanciers se sentent "proprietaires viruels"....

    Si Onepoint, Deloitte ou qui n'importe quelle ESN enlève 200 employés qui bossent sur les JJOO, les créanciers recevront une belle claque de l'Elysee si ils re-échelonnent pas la dette!


  • 17 avril 2024 18:24

    Beaucoup d'influenceurs + journaux spécialisés qui essayent de "convertir" les petits actionnaires à un AK extra dilutive de manière à capter leur titre....Je ne sais pas ou on va, mais il me semble qu'un industriel va reprendre Atos et qu'il ne peut pas se permettre de perdre :

    - la main vis-à-vis des créanciers
    - de voir Atos affiché comme un "Casino" dans la presse internationale car psychologiquement Atos perdrait son image.


  • 17 avril 2024 18:31

    Rouge vif de toute façon 


  • 17 avril 2024 20:06

    Faire 1 opa avec toutes ces dettes   j y croix pas 1 instant   donc 2.6  millards  converti a 1 € l actions  
    C est possible   même plus c est en  fonction. De   la valeur reel d atos  
    Compétences.brevets .marge  chiffre d affaire ect 
    Non de son cœur de bourse 
    Le cour a 1 range de 1.60 a 2.20    
    Si c était  1 dilution a 99%  on aurait 1 cours sous 0.30


  • 17 avril 2024 23:27

    "les porteurs de dette à échéance 2024-2025 (...) ont pactisé avec la finance institutionnelle exposée à plus long terme (...) porteurs de dette jusqu'en 2029"
    Pourquoi les créditeurs à long terme auraient voix au chapitre dans les négociations concernant les échéances à court terme?


  • 18 avril 2024 09:16

    Zzexe

    Ils ont pactisé, donc concernant les dettes, les passifs, le temps compte, vous avez donc les passifs courants actuels (les factures, les loyers, les salaires);
    Ensuite, le premier créancier reste la banque, Atos va violer le covenant en juillet et se trouvera donc sans cash. Donc il faut trouver avant juillet une solution au financement.
    Ensuite, vous avez le premier créancier obligataire qui peut donc ne pas être payé, et il a décidé de faire groupe avec les autres créanciers obligataires.
    Donc on l'écoute à travers ce qui le représente.

    Le pp lui aussi peut faire groupe et se faire entendre. Malheureusement, CGI n'a pas fait d'offre, donc tout le monde joue les enchères. 


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