@DiPieggi
Macron a développé cette structure juridique et Daniel K. en profite.
Tout sera mis sur le caractère "urgent".
Et encore heureusement qu'il y a Layani sinon c'était plié depuis longtemps.
Les créanciers eux mêmes ont été pris de court dans les cas Orpea et Casino, cela souligne que les créanciers ne font plus d'analyse qualitative mais suivent des algos paramétrés simplement permettant de distribuer l'argent ou de le retenir.
Daniel K. qui joue l'ignare en bourse devrait enquêter sur ces nombreuses sociétés financées malgré la dette junk.
Pour la conciliation, c'était justement pour discuter avec les créanciers.
Nous n'avons pas le contenu de ces discussions, même si au départ Atos disait que c'était constructif.
Ne pas oublier que les créanciers jouent aussi un jeu, plus le cours baisse plus ils peuvent avoir des parts de l'entreprise. Il suffit de voir la violence de leur pdf.
Le risque, un Daniel K qui veut les mettre out en jouant l'intérêt social et le pouvoir du new money.
Les créanciers étant structurés par des catégories de dette ne peuvent pas forcément sortir des fonds comme ça, même si sur Atos ils disent "vouloir le faire".
Donc il reste les compétences de direction. Ils ont besoin d'une équipe opérationnelle et une équipe qui a mis son propre argent est grandement digne de confiance.
L'exemple de Clariane joue en notre faveur, Map et ozy toussa devraient apprendre à regarder autre chose que trois idées qui tournent en rond dans leur tête.
Il n'y a pas tellement de mensonge, il y a un abus entre le secret, le manque de transparence, et l'équivocité de termes abstraits qui n'ont de sens qu'une fois l'usage clarifié (et donc exemplifier de nombreuses fois). Pour voir le personnage, il suffit de voir la formulation par Meunier du jeu du BFR sur la vente de TechF. Ensuite, le niveau "juridique", il a été un peu loin, on lui a fait remarquer, mais il a gagné un mois ou deux.
Ensuite, c'est des structures comptables, on va jouer sur un grand nombre de données illisibles, non clarifiées ou on mélange un peu tout dans des catégories (comme pour la crise des subprimes), par exemple l'affacturage dans mon souvenir et l'affacturage inversée, vous l'avez dans une catégorie d'obligations au bilan pour des comptes créanciers de 2 milliards.
Donc vous avez bien 2 milliards de facture.
Pour la dépréciation, c'est très facile, les actionnaires, ou plutôt le jeu de l'offre et la demande fait effondrer l'action. Donc cela signale une nouvelle valorisation possible des actifs comptables.
une enquête annuelle est menée, or on remarque que la boîte ne sera pas rentable pendant x année (le blabla des taux d'actualisation présent et futur). Et donc on peut facilement dire, donc valeur comptable nulle.
Meunier développe cela alors même que les principales sociétés d'infogérance sortent de la crise (DXC et Kyndryl).
Meunier une fois partie, la nouvelle équipe à tout intérêt à faire pareil, plus ils vont déprécier, plus ils vont sauver l'entreprise, plus ils auront de prime.
Meunier l'a rejeté, mais Layani n'a pas insisté.
Layani ne voulait pas se mettre à dos la direction et une fois Airbus en jeu, il ne peut rivaliser. Il n'y a que l'obligation fiduciaire qui pouvait forcer Meunier, or Meunier a eu une vague proposition, encore faut il que Layani montre des preuves de sérieux, Meunier l'a disqualifié en disant" une société de 500 millions de CA dont on ne sait pas ce qu'elle gagne, comment prendre ce financement au sérieux?"
ce sont de simples jeux, Atos avait besoin d'un actionnaire de référence, pour introduire BDS ou Eviden en bourse, sauf que forcément la dette aurait posé problème, et il fallait laisser du cash dans Eviden, donc si aucun institutionnel n'assurait cette stabilité, cela aurait pu être aussi l'hécatombe.
Gloups
C'est très simple, si au début vous voulez un appartement que le propriétaire ne veut vendre, mais qu'un an plus tard une grave crise arrive et que vous prenez conscience que vous pouvez avoir tout l'immeuble en jouant de la dépression, pourquoi s'en priver?
Le groupe Atos a plus de valeur qu'en 2021 ou 2023 mais tout dépend de ce qu'on appelle "valeur".