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Retour au sujet ATOS

ATOS : Article Challenges

16 avr. 2025 18:42

Il y a un capitaine dans le bateau » : Philippe Salle, un volontaire pour sauver Atos

58 réponses

  • 16 avril 2025 18:43

    Nommé PDG d’Atos le 1er février, cet ingénieur audacieux se donne deux ans pour sortir des enfers l’ex-champion français du numérique. Avant un plan en mai, il a lancé des premières mesures. Rencontre.

    premium-iconArticle réservé aux abonnés
    Gilles Fontaine
    Régis Soubrouillard
    16 avril 2025 à 18h00
    LECTURE 6 MIN
    Dans son entourage, personne n’a compris pourquoi il avait accepté de prendre ce job. Certains ont même cru qu’il avait perdu la raison : nommé président d’Atos en octobre, Philippe Salle en est devenu PDG le 1er février. Mais quelle mouche a donc piqué ce patron pour aller prendre les commandes d’un navire en perdition, menacé depuis des années de dépeçage et matraqué sur les marchés ? Le goût du danger, répond-il ce 9 avril à Challenges, sous l’œil inquiet de ses communicants. « J’ai toujours pris beaucoup de risques dans ma carrière. »

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    PDG du groupe de services immobiliers résidentiels Emeria (ex-Foncia) depuis 2017, il assure qu’il n’était pas demandeur, qu’il n’avait « rien à prouver ». Sauf à lui-même, peut-être. Un cabinet de chasseurs de têtes est venu le chercher. Et il a tout de suite vu « le très beau challenge », quand certains prédisent encore que la société sera en cessation de paiements dans les prochains mois. Mais pour lui, le groupe de services numériques demeure un fleuron : « Toute situation est rattrapable dans toutes les entreprises du monde. »

    Un « amoureux de la technologie »
    Certes, le flux de trésorerie disponible reste négatif, à 2,2 milliards d’euros, mais Philippe Salle assure que l’état des liquidités met le groupe à l’abri du danger immédiat : 1,8 milliard d’euros de cash, auxquels s’ajoutent 450 millions de crédit revolving. De quoi lui permettre de mener, sur deux ans, la transformation d’Atos pour le sortir des enfers, plan dont il annoncera les grandes lignes le 14 mai. Il y a urgence : son carnet de commandes est passé de 22 milliards d’euros en 2023 à 13 milliards l’an passé.

    En réalité, assure-t-il, Atos n’était plus géré depuis longtemps : « Je n’ai jamais compris comment une entreprise pouvait afficher un résultat positif et ne pas dégager de cash. » Il pilote les finances au plus serré, vérifie chaque soir les positions de tous les comptes bancaires de la société. « Il y a un capitaine dans le bateau », martèle celui qui succède à Jean-Pierre Mustier.

    A 59 ans, il met en avant ses 26 années d’expérience de PDG et sa connaissance du monde du private equity, qu’il côtoie depuis 2007. Un profil financier doublé de celui d’un ingénieur, rappelle l’ancien PDG de la société de conseil en ingénierie Altran, passé par Accenture et diplômé de l’Ecole des Mines. Un « amoureux de la technologie » qui a commencé à coder à l’âge de 15 ans sur un ordinateur Thomson TO7 et continue d’écrire des programmes à ses heures perdues.

    Son projet attire les talents
    Le temps manque un peu ces derniers mois à celui qui reconnaît qu’il « dort Atos, mange Atos et boit Atos 7 jours sur 7 » depuis son arrivée. Dans son rapport d’étonnement, Philippe Salle souligne deux bonnes surprises. Tout d’abord, les équipes n’ont pas fui le bateau, comme cela avait été dit. « Les gens sont très attachés à leur entreprise », estime-t-il.

    Mieux encore, son projet attire les talents. L’intéressé n’est pas peu fier d’être parvenu à faire venir le patron de la cybersécurité de Thalès, Pierre-Yves Jolivet, pour le nommer directeur général d’Eviden, qui regroupe les cyberactivités du groupe, dans un contexte où les tentatives de débauchage allaient plutôt dans l’autre sens… Philippe Salle a aussi convaincu l’Américain Michael Kollar, un ancien de la maison parti en 2022, de prendre la direction de l’activité infrastructure cloud.

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    « Une société internationale, locale et globale »
    Deuxième bonne nouvelle, la base de clients est restée très solide observe le PDG, après avoir fait son tour du monde, de Londres à Singapour via New Delhi, pour en visiter les vingt principaux. Bientôt, il se rendra en Allemagne, mais il n’a pas attendu pour s’entretenir longuement au téléphone avec Roland Busch, patron de Siemens, l’un des tout premiers clients, mais aussi partenaire depuis le rachat par Atos, en 2011, de son activité de services numériques. « Une opération énorme, mais indispensable, juge Philippe Salle. Dans cette industrie, la taille est très importante. » Il est impossible, selon lui, de jouer dans la Ligue des champions des services numériques pour une société qui ne dégage pas 10 milliards d’euros de chiffre d’affaires. La taille permet de décrocher des contrats mondiaux avec des acteurs mondiaux.

    Voilà pourquoi la scission d’Atos en deux entités, défendue par certains de ses prédécesseurs, n’est plus du tout à l’ordre du jour de celui qui définit ainsi la vocation de l’entreprise : « une société internationale, locale et globale, de services informatiques, qui vend aussi du logiciel et du matériel ». Sur ce dernier point, Philippe Salle va toutefois devoir en rabattre sur ses ambitions, puisque le gouvernement a décidé de mettre la main sur l’activité supercalculateurs, stratégique, via l’Agence des participations de l’Etat. Les discussions sont en cours, sur la base d’une valorisation autour de 625 millions d’euros, et devraient aboutir d’ici à la fin mai.

    « Un ancrage européen »
    Pour le prestige, Philippe Salle aurait bien conservé dans son périmètre la fabrication de ces machines exascale (puissance massive), vendues autour de 300 millions d’euros pièce. Mais l’activité, dépendante des commandes publiques, est trop erratique, et le patron d’Atos a conscience de ne pas pouvoir lutter à armes égales avec ses concurrents, Lenovo en Chine et HP aux Etats-Unis, deux pays où sont exclus les produits du constructeur français. Il ne se voit pas non plus se lancer dans un bras de fer avec l’Etat. Adieu, donc, les supercalculateurs, bras armé des nouveaux développements en intelligence artificielle.

    Cela ne l’empêche pas de vouloir jouer un rôle majeur dans le déploiement de ces technologies de rupture chez ses clients. Il vient de nommer un vice-président chargé de l’IA, qu’il veut utiliser au sein de ses six lignes de business, et pour les besoins internes, afin de « dégager des économies d’échelle et d’aller beaucoup plus vite sur certains sujets ».

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    C’est l’une de ses obsessions : simplifier l’organisation de l’entreprise qu’il reconnaît être d’une complexité jamais vue auparavant. Il a déjà réduit le Top-500 du management à un Top-200, supprimé les 15 postes de chef de cabinet – « tout le monde en avait » – et prévoit de se débarrasser des derniers consultants durant l’été. Plus tard, il entend s’attaquer à la structure du capital, trouver des actionnaires stables, européens. « Une fois que nous aurons recréé de la valeur, la question de la présence des fonds américains se posera. Il faudra un ancrage européen », lâche celui qui assume son patriotisme. Avant de formuler cette prévision : en 2030, Atos sera une entreprise comme les autres et pourra alors ambitionner de redevenir un joyau.

    Atos
    Newsletters


  • 16 avril 2025 19:08

    Coucou BRAVO22 ,

    J’avais lu l’article juste à sa sortie après fermeture de la bourse.

    Monsieur Salle à la carrure d’un grand patron et ses ambitions sont atteignable pour un monsieur de cette envergure. Vivement le 14 Mai


  • 16 avril 2025 19:30
    16 avril 2025 19:08

    Coucou BRAVO22 ,

    J’avais lu l’article juste à sa sortie après fermeture de la bourse.

    Monsieur Salle à la carrure d’un grand patron et ses ambitions sont atteignable pour un monsieur de cette envergure. Vivement le 14 Mai

    Coucou victorda Oui bel interview
    Philippe Salle, nommé PDG d'Atos le 1er février, se donne deux ans pour redresser l’entreprise et lui redonner sa place de fleuron du numérique. Ingénieur passionné et stratège financier, il pilote les finances avec rigueur et met en place une transformation ambitieuse.
    Malgré les défis, son projet attire les talents et rassure les clients.
    Son approche pragmatique et sa volonté de relever ce "beau challenge" montrent qu'il croit fermement à la capacité de redressement d'Atos.
    Les grandes lignes de son plan seront dévoilées le 14 mai.


  • 16 avril 2025 19:34

    Merci pour le partage, cet article est très réconfortant.
    Vivement demain les résultats du T1 et le 14 mai l annonce des perspectives.


  • 16 avril 2025 20:56

    Peut importante le T1
    La good news c'est les lignes de cet interview !!
    Le bateau ne coule plus et a retrouvé un capitaine qui met le cap sur une restructuration ambitieuse


  • 16 avril 2025 21:43

    Merci pour l’article.
    J’ai une petite question de néophyte : si l’État met la main sur les activités supercalculateur. Quel secteur d’activité reste-t-il à ATOS dans le domaine de la défense ?
    Je pense que le nouveau PDG voudrait bien tirer profit de la politique européenne actuel en la matière.


  • 17 avril 2025 01:17
    16 avril 2025 18:42

    Il y a un capitaine dans le bateau » : Philippe Salle, un volontaire pour sauver Atos

    Un cador qui a mis 9 ME dans une boite avant d en prendre les reines j en connais pas

    😴​


  • 17 avril 2025 03:02

    Si le nouveau boss arrive à stabiliser.
    Il aura réussi.
    Année décisive.

    Actionnaire en MV de 900 e, pas salarié


  • 17 avril 2025 04:00
    17 avril 2025 03:02

    Si le nouveau boss arrive à stabiliser.
    Il aura réussi.
    Année décisive.

    Actionnaire en MV de 900 e, pas salarié

    Actionnaires pas salariés 960 de pv je crois à ce nouveau grand patron


  • 17 avril 2025 08:11

    Je remonte le fil


  • 17 avril 2025 08:28

    du blabla...il faut des faits


  • 17 avril 2025 08:28

    Merci BRAVO22 ,

    Bonne initiative, l’interview est truffé d’éléments à mettre en correlation avec les résultats du T1 et les projections sur le plan du PDG et les perspectives au S1


  • 17 avril 2025 08:31

    Philippe salle a sauvé viridien. Donc capable de tout


  • 17 avril 2025 08:36

    Ce monsieur semble effectivement dévoué à l’entreprise plus qu’aux intérêts d’un État spoliateur.


  • 17 avril 2025 08:49

    Recovery


  • 17 avril 2025 08:50

    Belle équipe de chic avec Frank Chartier pour la France, capable de purger et de réveiller rapidement cette entreprise zombie.


  • 17 avril 2025 08:58

    Merci BRAVO22 ! 🫡


  • 17 avril 2025 08:59

    Excellent PDG Philippe SALLE 👍

    Il va nettoyer les CGTistes 🤑


  • 17 avril 2025 09:08
    17 avril 2025 08:50

    Belle équipe de chic avec Frank Chartier pour la France, capable de purger et de réveiller rapidement cette entreprise zombie.

    Mieux encore, son projet attire les talents. L’intéressé n’est pas peu fier d’être parvenu à faire venir le patron de la cybersécurité de Thalès, Pierre-Yves Jolivet, pour le nommer directeur général d’Eviden, qui regroupe les cyberactivités du groupe, dans un contexte où les tentatives de débauchage allaient plutôt dans l’autre sens… Philippe Salle a aussi convaincu l’Américain Michael Kollar, un ancien de la maison parti en 2022, de prendre la direction de l’activité infrastructure cloud.

    Le team de choc du New Atos …


  • 17 avril 2025 09:12

    Comme pour Vallourec avec Philippe guillemot, dans deux ans ( et pas en 5 minutes), dette nette à zéro et dividende supérieur à 10% un Atos enfin rentable, comme il se doit….


  • 17 avril 2025 09:15
    17 avril 2025 08:50

    Belle équipe de chic avec Frank Chartier pour la France, capable de purger et de réveiller rapidement cette entreprise zombie.

    Oui, nous voyons là la patte de TB: deal léonin avec certains clients pour faire uniquement du CA quitte à plomber l’avenir de l’entreprise avec des contrats déficitaires dès la signature…


  • 17 avril 2025 09:21

    Les très mauvais résultats sont imputable à l’ancienne équipe, il faudra attendre les annonces du nouveau plan stratégique fin mai pour voir un début de redressement du cours, avant électroencéphalogramme plat.


  • 17 avril 2025 09:26
    17 avril 2025 09:21

    Les très mauvais résultats sont imputable à l’ancienne équipe, il faudra attendre les annonces du nouveau plan stratégique fin mai pour voir un début de redressement du cours, avant électroencéphalogramme plat.

    L'hémorragie a été stoppée, et le redressement commence à se dessiner.
    RV S1


  • 17 avril 2025 09:27

    Arbitrage du CO en cours…


  • 17 avril 2025 09:33

    Oui trop de bla blaninsipode sur ce forum, les premiers milestones: plan stratégique et le S1.

    Gros boulot pour la nouvelle équipe, espérons et je le pense sans complexe et sans influence Extérieure pour tout remettre à plat.


  • 17 avril 2025 09:35

    Probablement la plus belle interview d'un PDG que j'aie jamais lue

    Cet homme va relancer ATOS je n'ai aucun doute à ce sujet


  • 17 avril 2025 09:43
    17 avril 2025 09:33

    Oui trop de bla blaninsipode sur ce forum, les premiers milestones: plan stratégique et le S1.

    Gros boulot pour la nouvelle équipe, espérons et je le pense sans complexe et sans influence Extérieure pour tout remettre à plat.

    Tout à fait. Résultats en ligne, interview qui donne des indications sur la suite, prochaines échéances charnières le 14 Mai et le S1


  • 17 avril 2025 17:30

    👍


  • 17 avril 2025 17:33

    Concernant la réduction des "managers", ça me fait penser à ce qui a été fait par les Derichebourg avec Elior.
    Le cours a été multiplié par 3 en peu de temps. Je n’en revenais pas.


  • 17 avril 2025 17:37
    17 avril 2025 17:33

    Concernant la réduction des "managers", ça me fait penser à ce qui a été fait par les Derichebourg avec Elior.
    Le cours a été multiplié par 3 en peu de temps. Je n’en revenais pas.

    👍


  • 17 avril 2025 17:54
    17 avril 2025 17:33

    Concernant la réduction des "managers", ça me fait penser à ce qui a été fait par les Derichebourg avec Elior.
    Le cours a été multiplié par 3 en peu de temps. Je n’en revenais pas.

    Vaste programme! Bien loin de ne concerner qu' Atos d'ailleurs...


  • 17 avril 2025 17:54

    Vous êtes dans la méthode coué à fond.

    Par exemple que la seule grosse entreprise que le mec a dirigé, il l'a coulé, ça vous interpele pas ?

    Que il a fait sortir elior du CAC40 ça vous interpelle pas

    que on l'ai viré au bout de moins de 2 ans, ça vous interpelle pas

    Quand il a dirigé Altran c'était à peine plus gros que onepoint...


  • 17 avril 2025 17:55

    Qu'il ait complètement endormi le journaliste ça vous vient pas à l'esprit non plus.


  • 17 avril 2025 17:57

    Math974 les HPC ne sont pas une activité de défense. La vente à l'armée représente bien moins de la moitié des ventes des HPC. La plus grosse partie est civile. Donc c'est uniquement parce que ce sont sur ces ordi que sont fait les simulations nucléaires que l'état veut le racheter. Mais c'est une branche civile.

    Souverain ne veut pas dire militaire. Essayez d'étudier mieux vos dossiers.


  • 17 avril 2025 17:59

    Easimov t'a fait attention de pas trop t'en prendre dans la figure pendant l'interview. Des fois quand l'or ga s me est intense ça peut partir un peu partout 😂​😂


  • 17 avril 2025 17:59

    Son plan à Elior a fait chuter le cours de 90% et vous etes tous à genoux.


  • 17 avril 2025 18:06

    Map, une copie de vos écrits a été prise. Vous devrez prendre du recul et consulter!


  • 17 avril 2025 18:06

    Pour l'instant, ce sont de belles paroles!
    0,0036 à la cloture!
    Il peut réussir sur la durée, mais cela prendra des années!


  • 17 avril 2025 18:18

    Clôture semblable aux mouvements récents, sur des volumes très faibles et un CAC rouge malgré la baisse des taux.
    Bref, aucun impact, baisse algo sur volumes ridicules, elle reste dans son range, RAS.


  • 17 avril 2025 18:32

    J'étais actionnaire d'Atos avant l' AK, j'ai tout vendu avec moins-value réduite avant son déclenchement!
    Car je ne voulais pas participer à une AK hyper dilutive (plus de 550 nouvelles actions, même avec un prix lowcost de 0,0037).
    J'en reprendrai une louchette à 0,0035 sans doute dés demain ,juste par curiosité.


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