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Forum - page 2 TOTALENERGIES
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FR0000120271 TTE

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Retour au sujet TOTALENERGIES

TOTALENERGIES : le titre va t'il retomber à 60€ ? | page 2

13 juin 2024 10:05

un support technique à 63, un autre à 62 puis les 60 moralement qui arrivent lentement sur le marché à l'approche des élections législatives

77 réponses

  • 14 juin 2024 10:03

    si redescend à 60 beaucoup d'acheteurs seront là, mais on n'y est pas , il faut surveiller le pétrole et la moyenne mobile des prix, mais aussi les consommations des diverses énergies dans le monde, il y a des mutations en permanence, des progrès partout, qui fournira quoi et en quelle quantité ?


  • 14 juin 2024 10:07

    c'est bien de se rassurer avec des arguments micro et macro mais le sujet n'est pas la... les meilleurs sociétés baissent faute à la crise politique qui est en train de se "pricer" dans les cours tous azimut. il y aura des retracements , consolidations a la hausse, quand j'en sais rien, mais vaut mieux être prudent et reprendre position après la crise politique. Les mêmes investisseurs qui sortent actuellement rentrent a nouveau ensuite, comme a chaque fois. c'est mon avis donc j'ai le doigt léger meme si c'est tentant. j'en vois certains prendre des louches content de celà mais leur PRU baisse inexorablement , et puis trader a contre tendance ... voir même acheter quand le couteau tombe... je pense que ce n'est pas prudent.


  • 14 juin 2024 10:10

    pour moi je recharge avant le détachement du 19 juin


  • 14 juin 2024 10:13

    Le CAC va refermer le GAP des 7466 et se stabiliser sur 7450
    Attendre ce niveau pour recharger en douceur.


  • 14 juin 2024 10:14

    Ce qui emmenera TTE sur 60,29


  • 14 juin 2024 10:16

    tout simplement pour augmenter mes dividendes pour juillet ( détachement le 19 juin donc recharge avant le 19)


  • 14 juin 2024 10:33

    inflation annuelle France à 2.6% vient de tomber sur les écrans, donc TTE est à acheter au cours actuel ou plus bas bien sur


  • 14 juin 2024 10:37

    les valeurs énergétique se font détruire


  • 14 juin 2024 10:42

    Je crois qu'il vaut mieux rester à l'écart de la bourse, vu la situation et les perspectives politiques et économiques ! Les analyses techniques n'ont pas bcp de sens aujourd'hui.


  • 14 juin 2024 10:45

    le politique est un menteur qui n'applique jamais ses promesses . RN , LFI feront comme l'Italie , la Grèce , ils se coucheront devant l'Europe . l'Europe , on respecte ses critères ou on sort . revenir à 60 ans pour la retraite est un mensonge car l'âge n'est pas très important , c'est la validation de ses trimestres qui est important sous peine d'avoir une petite retraite . une personne qui commence à travaillé à 22 ans , voir après ne peut pas partir à 60 ans .


  • 14 juin 2024 10:50

    on sait que la demande en électricité augmente fortement chaque année, les peuples veulent moins de dépendance aux hydrocarbures et moins de pollutions , mais il faut du temps et faire le moins cher possible à la production et vendre le moins cher possible à la consommation, il faut être logique on ne peut pas tout avoir d'un seul coup ni du jour au lendemain


  • 14 juin 2024 10:54

    TOTAL fait ses profits à l'international et la france ne représente pas grand chose . pour TOTAL , le titre baisse car il est entrainé par la morosité économique à venir . cela dit , pendant ce temps là , les profits restent . il n'est pas constitutionnel de taxer , voir spolier que les actionnaires des groupes énergétiques . si les extrèmes arrivent au pouvoir , ils pourront en réalité taxer tout le cac 40 entre 1 et 5 % . tout le cac 40 fait des profits . le tout sera de déterminer la définition d'1 super profit . LVMH , STELLANTIS font des super profits , non!!!!!!!!


  • 14 juin 2024 10:56

    donc on a besoin des centrales à gaz et du pétrole en attendant le nucléaire ou autres alternatifs pour se déplacer et ça peut prendre 30 ou 50 ans minimum en Europe, et bien plus longtemps sur d'autres continents ou la pauvreté et la misère règnent en maitres avec des conflits qui n'en finissent pas


  • 14 juin 2024 11:05

    le gaz est accepté comme énergie par l'Europe,
    dans 10 ou 15 ans, Vladimir ne sera plus là et si ça se trouve le conflit s'arrentera et les choses rentreront dans l'ordre en économie mondiale, on peut l'espérer


  • 14 juin 2024 11:17

    et puis il n'y a pas que la Russie qui a du gaz ou des minerais ou qui veut des fonderies ou des terres agricoles, ou encore des énergies fossiles;
    le Mozambique et plein de pays d'Afrique en ont, mais aussi Amérique du sud, on a le temps de voir venir


  • 14 juin 2024 11:18

    En attendant, les commentaires sur BFM Business annoncent une baisse exogène des énergies de 15 % environ au début 2025. Le Maire et Bardella n'y seront pour rien (mais prétendent déjà le contraire). Le cours du Brent se retrouverait à 70 € approximativement, ce qui ne sera pas catastrophique pour TTE, mais quand même moins bon que le cours actuel, non?


  • 14 juin 2024 11:40

    sauf qu'il n'y a pas que la France sur la terre, le reste du monde se développe et veut du progrès dont la Chine qui ambitionne de devenir la première économie mondiale et plein d'autres petits pays et peuples


  • 14 juin 2024 11:45

    Ça tombe juste au moment où mon augmentation de capital de 2019 est disponible. Je garde encore jusqu'au 19 ou j'encaisse, ,j' hésites.


  • 14 juin 2024 11:48

    il y a tout simplement 7 milliards au moins de gens qui veulent vivre et consommer, pas d'embêter avec des concepts de propreté ou de pollution, à part ça la vie est belle chez les riches qui ne veulent plus se salir les mains


  • 14 juin 2024 11:51

    Nous y sommes le CAC 7553 pour combler le GAP 7466


  • 14 juin 2024 12:01

    Beaucoup de remarques ici sont justes...Reste qu'il est trop tôt pour se positionner aujourd'hui et que les deficits abyssaux (deja 94 milliards au 14 juin sur 2024) et les enormes incertitudes politiques ne plaident pas pour acheter des actions sur le CAC 40 à l'heure actuelle


  • 14 juin 2024 15:14

    Et bien moi, je vais reprendre une brassée d'actions TTE à la clout.
    En meme temps, c'est toujours 10 % d'actions en + qu'à la vente sur 68 ;-)
    si seulement ça pouvait baisser vraiment, j'achete des palettes d'actions ^^


  • 14 juin 2024 16:27

    Chacun sa prise de risque! Rdv lundi 😋


  • 14 juin 2024 16:35

    GAP sur 7466 sur CAC refermé.


  • 14 juin 2024 17:13

    voir les itinéraires avec bornes de recharge ou essence ou diesel, gare aux bouchons avec les JO


  • 15 juin 2024 20:25

    en ce moment il faut surveiller les élucubrations de nos acteurs de cirque plus que le cours de total on verra le 1/7


  • 17 juin 2024 07:54

    À nouveau au goût du jour, maintenant vus les projets législatifs économiques, les marchés d'échanges de titres sont inquiets.
    Bien sûr on peut observer sur les courbes des acheteurs à des seuils inférieurs à 60€ par titres, et donc le rendement si on achète augmente au fil de la baisse à comparer à l'inflation.
    Chacun y verra son intérêt, tout est possible pour un repli des prix de l'action


  • 05 juillet 2024 11:19

    Bonjour à tous,
    Il semblerait que les emplettes CT soient terminées.
    Il reste à definir les prochaines ventes CT et MT sur le titre
    Voici mes seuils de vente pour le CT et MT :
    TCT et CT 67 / 69 / 70 et 72 / 75 pour le MT
    Perso, je reste confiant sur l'objectif des 72€ pour début oct24 et les 75€ sont atteignables avant le 31/12 AMHA.
    A suivre
    Bonne journée à tous et n'hesitez pas à réagir si désaccord et opinion contraire, pourvu qu'il y ait du respect et de la bienveillance entre nous Au plaisir de vous lire, Raid


  • 05 juillet 2024 12:02

    Ouï allègement au cours actuel et à 70€ le Brent tutoie les 88$, pourrait monter à 90$ maxi, après c'est gênant pour beaucoup de monde


  • 10 juillet 2024 08:20

    Le baril faiblit, les hésitations sont en hausse sur l'économie française avec les élections législatives, toujours rien sur l'immobilier ni les investissements


  • 10 juillet 2024 08:43

    Petit passage à vide pour l'été


  • 10 juillet 2024 09:17

    le gaz naturel n'est pas chaud, a tendance à revenir au niveau de 2020


  • 10 juillet 2024 09:21

    Pour moi sur ce titre il faut être LT pour X raisons😉


  • 10 juillet 2024 09:31

    ce qui n'empêche pas d'essayer de l'attraper dans les creux, c'est fait pour ça la Bourse après tout


  • 10 juillet 2024 09:45

    bé tien je me suis pas gêné pour passer à l' HA quand le titre chute c le But😉


  • 10 juillet 2024 10:44

    Preuve que nous sommes encore dans l'incertitude( coalition) à venir les marchés sont atones , il y a peu de volume....


  • 10 juillet 2024 12:09

    CQFD /:




    Il sera difficile pour une Assemblée nationale divisée de s'entendre sur des réductions de dépenses politiquement compliquées", dit Léo Barincou, économiste chez Oxford Economics.

    "Cela va mettre la France en contradiction avec les nouvelles règles budgétaires de l'UE", ajoute-t-il.

    Les projets budgétaires du gouvernement sortant censés ramener le déficit de 5,5% du produit intérieur brut (PIB) l'an dernier à moins de 3% - le plafond prévu par les textes européens - en 2027 avaient déjà été accueillis avec scepticisme par le Fonds monétaire international ou encore le Haut Conseil des finances publiques, lequel a dénoncé en avril un "manque de crédibilité" dans les prévisions de Bercy.

    Ce sont désormais les propositions du Nouveau Front populaire (NFP), la coalition de gauche arrivée en tête des élections législatives, qui éveillent les soupçons de certains économistes, entre hausse du salaire minimum, alourdissement des impôts sur les plus fortunés ou encore abrogation du report de l'âge du départ à la retraite.

    LE RISQUE DE LA MOTION DE CENSURE

    "Nous sommes la seule formation politique qui a mis des recettes face aux dépenses pour augmenter le pouvoir d'achat", rétorque le député socialiste Boris Vallaud, interrogé par Reuters.

    Son collègue de la France insoumise, Eric Coquerel, président de la commission des Finances dans l'Assemblée sortante, appuie : "On a un programme où il n'y a aucune dépense sans recette donc il n'y a pas de raison d'augmenter les déficits, on peut même faire mieux que le gouvernement. Et même on n'a pas intégré dans notre programme des effets d'une augmentation keynésienne qui peut arriver, en termes de cotisations, dans un second temps."

    Reste que la gauche pas plus que la droite ni le camp présidentiel centriste ne disposent d'une majorité, loin de là, et semblent bien plus exposés au risque d'une motion de censure que le gouvernement sortant, qui a fait adopter ses textes budgétaires sans vote depuis 2022 via l'article 49.3 de la Constitution.

    Si la gauche et la majorité présidentielle sortante, mais pas les Républicains, sont convenus lors des élections de désistements réciproques pour empêcher le Rassemblement national d'accéder au pouvoir, une entente en vue de l'élaboration d'un budget nécessiterait des compromis inhabituels au sein de la vie politique française, entre différents camps aux positions de départ diamétralement opposées.

    MARINE LE PEN EN EMBUSCADE

    "Il faut répondre aux attentes des Français par la santé de l'économie et par les salaires", dit Eric Woerth, député "macroniste" après avoir été ministre du Budget sous Nicolas Sarkozy. "On aura besoin de se poser la question de la démocratie parlementaire sans compromis avec l'extrémisme de gauche et de droite. Cela prend du temps, il y a besoin de pacification."

    "Bienvenue dans la politique des coalitions", commente Nicolas Véron, économiste au centre de réflexion Bruegel à Bruxelles et au Peterson Institute for International Economics à Washington.

    "Cela pourrait nécessiter des négociations prolongées et beaucoup d'essais et d'erreurs", ajoute-t-il au sujet de la formation d'un gouvernement.

    Alors que la Constitution interdit toute nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale d'ici un an, l'incertitude risque de durer.

    Emmanuel Macron s'est envolé à Washington pour un sommet de l'Otan sans avoir pris la parole depuis l'annonce des résultats des élections dimanche, hormis pour annoncer via des communiqués qu'il maintenait "pour le moment" le gouvernement de Gabriel Attal et attendait "la structuration de la nouvelle Assemblée nationale pour prendre les décisions nécessaires".

    La nouvelle législature débute le 18 juillet puis la vie politique française pourrait être rapidement anesthésiée par les Jeux olympiques de Paris et les vacances du mois d'août.

    Quel qu'il soit, le gouvernement devra pourtant soumettre d'ici environ la mi-octobre un projet de budget à la Commission européenne.

    Les agences de notation Moody's et S&P Global ont déjà exprimé leurs inquiétudes sur l'évolution des comptes publics de la France et, pour Bruno Cavalier, chef économiste chez Oddo Securities, les investisseurs vont exiger une prime de risque plus élevée pour détenir de la dette française à mesure que la paralysie semble s'installer.

    Dans les deux cas, une dégradation des comptes publics ou une politique d'austérité budgétaire pourraient faire le jeu de Marine Le Pen, qui, après avoir caressé l'espoir d'une victoire aux législatives, observe désormais le "bourbier" politique français avec l'élection présidentielle de 2027 en ligne de mire.


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